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Mardi 10 octobre 2023 2 10 /10 /Oct /2023 08:00

La photo

socio44

Fin de soirée entre amis

Nous sommes entre "gens de bonne compagnie" : canapé de cuir, tapis d'orient, parquet de chêne, invités triés sur le volet... Les hommes sont passés chez le coiffeur, les femmes qui ont soigné leur épilation intégrale, portent de la lingerie très sexy et des vêtements de soie. On sirote des grands crus bourgois de bordeaux dans des verres à pied en cristal... En fin de soirée, un peu éméchés, on se lâche : les hommes se sont mis à poil, les femmes ont ôté leur petite culotte mais pas leurs bas à jarretelles ni leurs escarpins à brides... Il leur suffit de fermer les yeux et de se laisser emporter par la sensualité d'une bouche gourmande collée à leur ventre. Tout se savoure, se déguste : le vin, le sexe, le standing... C'est le goût du bonheur

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 23 juin 2023 5 23 /06 /Juin /2023 08:00

La photo

socio43

Le texte : Erotisme et repassage

Dans cette rubrique, autant j'ai parfois eu des doutes sur le caractère "amateur" des photos, autant cette fois, il n'est guère possible de le contester.

À commencer par le modèle qui ne correspond pas aux fondamentaux de l'érotisme : pas de maquillage, pas de lingerie sexy, petite poitrine, éclairage naturel ! Certes, elle a une belle paire de fesses mais on devine encore les marques de bronzage maillot de l'été précédent... Et surtout, il y a le décor ! Comment peut-on imaginer qu'il soit le fruit d'une mise en scène ? En vrac : la couette froissée, les oreillers écrasés de la nuit, l'étagère du chevet encombrée d'un fatras intime (livres, papiers, et autres choses indéterminées) et puis surtout, dans le coin gauche, une vue partielle sur le petit dressing où se trouve la table à repasser, prête à l'usage, objet symbolique s'il en est de la vie en couple... Je ne sais si la personne qui prend la photo est une femme ou un homme, un(e) conjoint(e) ou un(e) amant(e)... Peu importe. Ce qui est sûr, c'est que la femme qui pose pour la photo est une amoureuse heureuse et qui tient à ce qu'on le sache !

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 12 mai 2023 5 12 /05 /Mai /2023 08:00

La photo

socio42

 

"Hommage à Raphaël"

Je prends toujours beaucoup de plaisir à échafauder un scénario à partir d'une simple photographie.

Ce qui m'a séduit dans cette image, c'est le contraste entre le visage de la jeune femme (en haut de l'image) et la trivialité du bas... La photo a été prise dans une voiture garée sur un parking (on distingue en arrière-plan l'aile avant droite d'un autre véhicule tout proche). Il y a aussi un haut talus herbeux planté d'arbustes. Ce jour-là, il pleut et compte tenu de la tenue de la jeune femme (pull enfilé par dessus un tee-shirt blanc et chaussures de marche..) on peut en déduire qu'il ne fait pas chaud. Je pense donc à une aire de stationnement au bord d'une grande route... 

À la demande du conducteur (ou de la conductrice) elle a ôté sa jupe et sa petite culotte mais elle a gardé ses chaussures et surtout son pull à la fois parce qu'il fait un peu froid mais surtout pour ne pas se faire répérer de l'extérieur... Le/la photographe a ouvert la porte passager pour prendre le cliché et afin qu'il/elle voie bien son sexe, elle a écarté ses cuisses blanches. Jusque-là, on est en terrain familier : jeune femme amoureuse qui montre son désir à la personne qu'elle aime. Photo souvenir semblable à des milliers d'autres ?

Pas tout à fait car il y a le magnifique visage de la passagère. Quand j'ai découvert cette photo, j'ai spontanément pensé à "La vierge au rocher" de Léonard de Vinci et aux portraits féminins de Raphaël. Elle est raphaëlesque ! Avec son abondante chevelure brune, son nez droit, ses paupières tendrement et pudiquement  baissées, son sourire angélique, elle semble tout droit venue de la Renaissance italienne... Ce n'est pas l'enfant Jésus qu'elle regarde mais son ventre nu et offert à l'objectif. 


Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 23 décembre 2022 5 23 /12 /Déc /2022 08:00

La photo

socio41

"La magie de noël"

Comme chaque année à l'approche de noël, de nombreuses photos "devant le sapin enguirlandé" s'affichent sur les pages des sites érotiques amateurs. 

La photographie érotique de noël répond presque toujours à des codes standardisés

- Code couleurs : le rouge "Père Noël" est de rigueur. On le trouve essentiellement dans les vêtements et accessoires du modèle (bonnet à pompon, cape, manteau, sous-vêtements...) Il peut être accompagné de quelques touches de blanc qui évoquent la neige...

- Code déco : Le sapin en arrière-plan est indispensable, lourdement enguirlandé et multicolore, avec souvent des paquets-cadeaux déposés au pied. Le modèle est souvent "présenté" sur un tapis de laine épaisse qui nous rappelle la chaleur du foyer par opposition au froid du dehors.

Quant au modèle lui-même, il n'est que très rarement intégralement nu. Il est souvent symboliquement emballé comme un paquet-cadeau... Il est lui-même LE CADEAU DE NOËL

 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 20 mai 2022 5 20 /05 /Mai /2022 08:00

La photo

socio40

"Cap' ou pas cap' ? "

C'est le genre de photo qui semble le fruit d'un pari : se montrer quasiment nue dans un lieu public. Que l'initiative en revienne au modèle ou au photographe importe peu. Il n'en reste pas moins que l'acte est illégal et la démarche trangressive.

Le contexte : La photo semble avoir été prise en France, peut-être en Bretagne (je pense à une ville comme Locronan dans le Finistère). Au vu de la tenue des passants, il fait assez froid. Le cadrage de la photo est très simple : à gauche, l'arrière-plan avec les rues pavées, les vieilles maisons de pierre, les commerces et une scène de la vie quotidienne : à droite, les murs austères et nus de l'église et une jeune femme qui, à l'abri des regards, le manteau ouvert, s'exhibe en bas, porte-jarretelles, talons hauts et soutien-gorge à balconnet.

Ma lecture : L'intérêt de la photo réside essentiellement dans le contraste entre le décor de vieilles pierres et l'arrière-plan qui représentent la tradition  et, à droite, la jeune femme qui incarne une certaine forme de liberté (elle se se contente pas de s'exhiber affublée d'accessoires érotiques, elle pose aussi les seins nus et sans petite culotte !). En plus d'être audacieuse, la jeune femme est très belle.

On pourrait faire une lecture politique de l'image, y voir l'opposition de deux mondes irréconciliables, deux mondes qui s'ignorent : d'un côté une société tournée vers le passé, le conservatisme, la nostalgie de l'avant ; de l'autre une société plus libérale, sans tabous, plus jeune aussi, qui revendique le droit au plaisir.  

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 18 mars 2022 5 18 /03 /Mars /2022 08:00

Photo n° 39

socio39

La proposition 

Les lieux : une chambre mansardée, un peu fouillis. Des vêtements sont posés en vrac sur le lit. Si l'on en croit la bouteille d'eau minérale Volvic, nous sommes en France, sans doute en soirée (les lampes de chevet sont allumées). La robe légère de la femme suggère qu'il fait chaud dans la pièce. L'omniprésence des livres (il y a a même sous le lit) laisse supposer qu'on se trouve dans un milieu plutôt intello

Les personnages : La jeune femme occupe presque toute l'image. Mariée (elle porte une alliance à l'annulaire gauche), elle n'est vêtue que d'une petite robe noire à manches courtes mais elle a gardé ses bottes, comme si elle venait d'arriver. Difficile de savoir si elle porte des bas ou si elle est jambes nues.  De sa main droite, elle tient une coupe de champagne... Sa main gauche est posée sur le poignet d'un homme qui a lui-même posé sa main droite sur son genou. En bas, à gauche de la photo, on voit le genou d'un autre homme vêtu d'un jean, c'est sans doute celui qui prend la photo.

L'interpération : Leur rencontre n'est pas fortuite. Elle a été programmée, comme en témoignent la tenue plutôt sexy de la jeune femme, la coupe de champagne et le choix de la chambre pour boire un verre. Ces trois-là sont réunis pour une soirée sexe. Le couple invité à gauche ; leur hôte d'un soir à droite.  La main posée sur le poignet  peut être différemment interprétée : s'agit-il d'écarter voire de repousser la main trop pressante ou de l'encourager à s'aventurer plus haut sur ses cuisses. Compte tenu des indices, la seconde option paraît la plus probable. D'ailleurs, le regard de la jeune femme ne semble pas fâché, bien au contraire. On peut penser que ce geste est le premier contact physique entre eux, geste d'approche, d'apprivoisement.  Sa bouche esquisse un sourire complice et on aimerait bien savoir ce qu'elle lui dit. Son mari immortalise la rencontre... La soirée coquine va pouvoir commencer... 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 7 janvier 2022 5 07 /01 /Jan /2022 08:00

 

Photo n° 38

socio38

      Sieste méridienne

La lecture

Un premier constat : l'image est belle. 

Les éléments du décor : un salon, dans un appartement. Le mobilier est simple et fonctionnel : un canapé aux coussins en tissu uni, une table basse en bois brut, une autre plus petite, un abat-jour près de la fenêtre, un meuble plus sombre derrière le canapé. Bien qu'on soit en plein jour, la pièce est comme plongée dans la pénombre. Dehors, par la fenêtre, on voit des branches d'arbres avec des feuilles d'un vert tendre. L'appartement doit être à l'étage... 

Allongée sur le ventre dans le canapé, le buste relevé par un coussin, la tête tournée vers la fenêtre, il y a une femme intégralement nue. On devine que c'est une femme mûre. Elle ne dort pas, elle se repose.

Lecture subjective : nous sommes chez un couple de femmes résolument écologistes comme en témoigne les tables conçues à partir de matériaux de récupération. Elles sont en couple depuis plusieurs années et toujours très amoureuses. C'est un jour de printemps, un des premiers vrais beaux jours de l'année. L'appartement baigne dans une douce chaleur propice aux câlins. Celle qui prend la photo ne se lasse pas de la beauté charnelle de la croupe de sa compagne : elle aime ses fesses pleines, sa raie culière riche de secrets et de senteurs intimes, son clitoris maintes fois caressé, léché, sucé comme un petit bonbon toujours sucré... Son clitoris qu'elle frotte au sien lorsque leurs ventres se rejoignent,  que leurs fentes s'embrassent, mêlent leurs mouillures et qu'elles jouissent ensemble en se regardant amoureusement... D'ailleurs, à peine la photo prise, elle va la rejoindre sur le canapé et poser ses mains fiévreuses sur la peau nue de ses reins...

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 7 décembre 2021 2 07 /12 /Déc /2021 08:00

Lien.  Rappel de l'exercice précédent :  Exercices d'écriture, # 6

Exercices d'écriture, # 7

1 : la photo

duo7

2: les textes

- Le mari

 Nous nous rendions avec mon épouse, Hélène de la Motte-Veuillé à un dîner chez l’un de nos amis, où étaient conviés certains de ses intimes ; Hélène était la seule femme.

Je lui avais demandé de s’habiller de manière à attirer le regard de tous les mâles qui seraient présents.

Évidemment bas et escarpins noirs obligatoires. Je n’avais même pas eu la peine de le lui demander.

String et soutien-gorge noirs complétaient les sous-vêtements.

En femme consciente des regards qu’elle attirerait, elle avait choisi une robe manteau noire boutonnée devant, dont elle laissa les derniers boutons ouverts.

Elle compléta sa tenue par un manteau noir d’agneau plongé.

Le dîner avait lieu à cinquante kilomètres de Paris et nous devions prendre le périphérique pour rejoindre l’autoroute du Nord.

Nous étions pris dans les encombrements du périphérique, un poids lourd était à notre droite .

Je remarquai le chauffeur qui comme beaucoup regardent si les jambes d’une passagère d’une voiture de tourisme ne seraient pas visibles.

Je profitai de l’occasion pour écarter les pans de sa robe, les remontant afin qu’il puisse voir qu’elle portait des bas et un string dont le haut en tulle noir fin et ajouré laissait deviner l’épilation parfaite.

Dans le flot ralenti de la circulation le routier faisait en sorte dé rester auprès de nous et moi de lui.

Hélène laissait ses jambes largement découvertes se prêtant au jeu.

Sur l’autoroute je fis en sorte de rouler à la même allure que lui.

Tout à coup à l'approche d'une aire de repos, il accéléra mit ses warnings et prit la bretelle d’accès à cette aire. Hélène me dit ; « Suis le ».

J’allai garer la jaguar à côté de l’endroit plutôt isolé du reste des camions au repos où il s’était arrêté.

Il descendit

je baissai ma vitre.

« J’attends votre femme dans ma cabine. »

Hélène descendit et le suivit, remontant sa robe pour accéder au marchepied du camion. Il la suivit, lui soutenant le cul pour l’aider à monter, signe de sa prise de possession, referma la porte et tira les rideaux.

Il se passa une vingtaine de minutes.

Ma femme redescendit les cheveux à peine défaits. Elle remonta dans la voiture. Une fois assise, elle remonta ses bas up qui dans les mains du routier étaient un peu descendus .

Elle me dit «  Je te raconterai plus tard, j’ai la bouche endolorie, tu n’imagines pas la taille de sa bite. D’ailleurs je n’ai pas que la bouche d'endolorie ... »

Je téléphonai à nos amis pour dire que nous aurions un peu de retard. La soirée ne faisait que commencer.

- L'amant

Ce samedi-là, un des premiers beaux jours de printemps, le mari d'Hélène avait insisté pour que je l'accompagne ; il souhaitait me faire découvrir sur le littoral, une plage très "romantique" encore préservée du tourisme. Hélène était du voyage. En cours de route, il fit halte dans un hameau afin, dit-il, de voir un de ses clients".

- Je n'en n'ai pas pour longtemps, juste quelques documents à signer !

C'est ainsi que je me suis retrouvé en compagnie d'Hélène que je n'avais pas eu le bonheur de rencontrer, seul à seul, depuis plusieurs semaines. Elle m'invita à la rejoindre à l'avant, côté conducteur. À peine la portière refermée, elle me tint un discours des plus surprenants :

- Ne soyez pas dupe, me dit-elle sans me regarder, cette histoire de visite à un client n'est qu'un prétexte pour nous laisser en tête à tête. Je le connais : l'idée que nous en profitions pour nous embrasser et nous livrer à la luxure l'excite au plus haut point. Je parie même qu'en moment, il nous observe...

Ce disant, elle retroussa un peu sa jupe et écarta les cuisses...

- Et vous, demandai-je, vous en pensez quoi ?

- Moi ? Ce n'est pas pour me déplaire. Telle que vous me voyez là, je suis déjà toute mouillée rien qu'à la perspective de baiser avec vous et qu'on laisse des traces de sperme et de cyprine sur le cuir des sièges ! Vous avez déjà fait l'amour en voiture ?

- Oui... quand j'étais encore jeune.

- Moi, jamais ! Pourtant, en voiture, le confort douillet de l'habitacle et surtout les vibrations du moteur m'échauffent les sens...Vous permettez que je vous suce, rien que pour ne pas le décevoir ?

- Pourquoi pas, si ça peut lui faire plaisir. 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 12 octobre 2021 2 12 /10 /Oct /2021 08:00

1. La photo

duo6

2. Les textes

Le mari

Mail d’Hélène de la Motte-Veuillé à son mari

Mon Chéri,

Je suis arrivée à l’hôtel hier soir et sais-tu sur qui je suis tombée dans le hall ? Arnaud !

Nous avons dîné ensemble et tu penses bien qu’ensuite il m’a rejointe dans ma chambre.

Il a été très autoritaire, il m’a fait mettre à poil tout de suite avec instruction de m’allonger sur le lit à plat ventre, cuisses bien ouvertes, un petit peu cambrée, que je sois la plus indécente possible.

Rien que cette position, de sentir son regard sur mon sexe ouvert et mon anus, m’a fait mouiller immédiatement.

Je pensais qu’il allait me prendre tout de suite, mais non, il m’a longuement décrit mon sexe, tel qu’il le voyait : mes grandes lèvres pendantes et ouvertes laissant voir un intérieur luisant d’humidité, les quelques poils qui me restent après mon épilation au laser, entourant mon trou du cul dont il m’a dit que le petit chou-fleur témoignait de passages.

Évidemment pas les tiens mon chéri puisque je le réserve à mes amants devant toi.

J’ai compris qu’il s’était déshabillé, il m’a pris par les hanches pour me relever à quatre pattes.

J’ai senti son sexe très dur qui me fouillait le vagin, allant et venant avec facilité tellement j’étais prête. Mon plaisir est venu tout de suite ; j’ai compris qu’il se retenait. Il est sorti et j’ai senti son gland contre mon anus ; il m’a enculée d’un coup et a joui tout de suite. Il aime me dominer ainsi et me faire mal.

Dommage que tu n’aies pas été là.

Tu comprends que je ne pouvais pas attendre mon retour pour te raconter cela ;

Je t'embrasse mon chéri.

Hélène

 L'amant

Allongée sur le ventre, les fesses relevées, les cuisses légèrement écartées, Hélène tourne les pages de son livre.

– Vous connaissez le texte d'Aragon, " Le con d'Irène" ?

– J'en ai beaucoup entendu parler, mais je dois avouer que je ne l'ai jamais lu.

– Ça m'étonne de vous... Vous voulez que je vous en lise un court passage.

– Volontiers

"Les mots ne lui font pas plus peur que les hommes, et comme eux ils lui font parfois plaisir. Elle ne s'en prive pas au milieu de la volupté. Ils sortent d'elle alors sans effort, dans leur violence. Ah, l'ordure qu'elle peut être. Elle s'échauffe, et son amant avec elle, d'un vocabulaire brûlant et ignoble. Elle se roule dans les mots comme dans une sueur. Elle rue, elle délire. Ça ne fait rien, c'est quelque chose, l'amour d'Irène".

– Alors, qu'en pensez-vous ?

– Intéressant... mais aujourd'hui, je lui préfère le cul d'Hélène;

– Vraiment ? Alors, parlez-moi de mon cul et de mon con aussi, il leur tarde de vous entendre.

– Je ne vais pas vous les décrire, vous les avez déjà vus des centaines de fois en photo, mais cela m'étonnerait que vous en connaissiez le parfum et la saveur... Je me trompe ?

– Non, vous avez raison.

– Votre raie culière a des senteurs de feu de bois dans la cheminée, un soir d'automne, avec des réminiscences de cochonnaille grillée... Il est rustique, sauvagement campagnard... Et le trou de votre cul dont je me délecte est un peu poivré. L'odeur et le goût de votre cul se marient sur ma langue qui vous lèche et vous suce...

– Et mon con ?

– Au repos, votre con a des arômes de bouquet champêtre, un subtil mélange de parfums tout simples... Mais quand il bâille et bave, comme en ce moment, il s'en dégage un puissant parfum de miel de châtaignier, épais comme votre mouillure... Une odeur de femelle en attente de queue, une odeur de salope comme les reniflent de loin les mâles en rut, une odeur qui fait se dresser les bites et venir le foutre...

– Et en ce moment, vous bandez ?

– À votre avis ?

 

Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 17 août 2021 2 17 /08 /Août /2021 08:00

1. La photo

duo5 

2. Les textes

Le mari.

      Assise sur la terrasse d’un hôtel du Périgord, Hélène de la Motte-Veuillé était en pleine conversation téléphonique. Elle buvait un verre en compagnie de son mari.

Un peu vautrée sur son fauteuil de jardin, les jambes croisées, sans aucune pudeur, laissant apparaître, selon l’angle de vue, son string, puisqu’elle ne portait que ce type de sous-vêtement.

Elle téléphonait, mais s’apercevait qu’un homme la regardait fixement, que son regard allait de bas en haut, s’arrêtant longuement sur ses jambes.

Elle ne fit rien pour modifier sa position.

Ses lunettes de soleil masquaient la direction de son regard, mais elle détaillait cet homme comme celui-ci la détaillait.

Elle continuait sa conversation téléphonique le plus naturellement du monde. Laissant ses cuisses découvertes.

Avec sa main gauche elle jouait avec la clef de la chambre dont la large plaque porte-clef laissait voir le numéro.

Sa conversation terminée, elle dit à son mari qui était assis à côté d’elle." Je pense ne pas être indifférente au bel homme qui ne cesse de me regarder. Soyez assez aimable, de lui dire de venir s’asseoir boire un verre avec nous ce soir après le dîner dans notre chambre. Il en connaît certainement le numéro. Vous adorez me voir être baisée par un autre, je serai ravie de vous faire encore une fois ce plaisir."

L'amant.

C'était une belle journée d'été, ensoleillée mais pas encore caniculaire. Je suis passé au manoir en fin d'après-midi ; comme je l'avais pressenti, Hélène s'était installée dans le parc, à l'ombre d'un parasol pour profiter du beau temps. Une fois épuisées les formules de politesse d'usage, j'ai pris l'air faussement surpris de ne pas voir son mari que je savais absent pour la journée et à plus de deux heures de route de là.

- Il a un rendez-vous d'affaires, je crois... Il ne rentrera que cette nuit, me confirma Hélène avant de me proposer un rafraîchissement.

Elle était ravissante, les jambes nues joliment hâlées, vêtue d'une jupe de cotonnade unie toute simple et d'un polo rose pâle.

- Qu'allez-vous me lire aujourd'hui ? Une de vos nouvelles ?

- Non, mais je peux vous dire un sonnet de Louise Labé... Je le connais par cœur. Le premier quatrain est remarquable.

- Alors, je vous écoute.

Baise m'encor, rebaise-moi et baise :

Donne m'en un de tes plus savoureux,

Donne m'en un de tes plus amoureux,

Je t'en rendrai quatre plus chauds que braise.

Aux derniers mots, elle me parut soudain très pensive, le regard dans le lointain.

- C'est une femme qui a écrit ces vers ? Louise Labé, vous dites ?

- Oui, une poétesse de la Renaissance.

- Dites le moi encore...

Mais alors que je venais d'achever le dernier vers, son portable sonna. Hélène me fit signe de la main pour me demander le silence. Elle entra en grande conversation avec quelqu'un qu'elle tutoyait. Cependant, sans cesser de parler, elle a retroussé sa robe et m'a montré ses cuisses nues. C'était une invitation. Alors, quittant ma chaise, je me suis mis à quatre pattes sur le gravier, et, tel un chien en chasse, je suis venu fourrer ma tête sous sa robe, entre ses jambes écartées, la truffe à la recherche de sa fente en chaleur.

C'est ainsi, alors qu'elle parlait au téléphone des petits riens du quotidien, que je lui ai lapé la vulve, sucé le clitoris, enfoncé ma langue dans le vagin qui débordait de son désir et de ma salive mêlés. Elle avait posé sa main libre sur ma nuque pour maintenir ma bouche ventousée à son ventre.

La conversation prit fin :

- C'est entendu. Bonne route, mon chéri, sois prudent. À ce soir.... C'était mon mari... Il vous passe le bonjour.

Puis, le ventre ouvert, elle s'est laissée aller en arrière sur sa chaise et a murmuré :

Baisez-moi encor, rebaisez-moi et baisez...

 

 

Cliquez sur les liens ci-dessous pour lire ou relire les exercices précédents :

Exercices d'écriture, # 1

Exercices d'écriture, # 2

Exercices d'écriture # 3

Exercices d'écriture # 4

 


 

 


Par michel koppera - Publié dans : storynet - Communauté : Fantasmes et écriture
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