Jeudi 19 janvier 2012 4 19 /01 /Jan /2012 07:16

Régine DEFORGES, 101, avenue Henri Martin, éditions Ramsay , 1983
Fin du chapitre 3 : scène d'un grand classicisme

deforges1-2
«  Négligeant de lui répondre, François retira la lourde robe de chambre d’un seul geste. Nu, le sexe dressé, les jambes écartées de chaque côté d’elle, il la dominait de toute sa taille. Léa ne put réprimer un frémissement voluptueux. Il ressemblait au brigand qu’elle rêvait de rencontrer au détour des allées forestières des landes lorsqu’elle était petite.


deforges2Elle porta la main au creux de ses cuisses. François tomba à genoux devant cette petite main crispée, et déplia doucement les doigts et posa ses lèvres à leur place. Sous cette langue qui la fouillait, elle se cambra pour mieux s’offrir. Le plaisir la surprit avec une violence qui la fit crier et s’agripper aux cheveux de son amant. Comme à regret, il releva le tête, contemplant ave un bonheur qui marquait son visage, le bouleversant résultat de ses caresses. Puis s’allongeant sur elle, il la pénétra doucement. »

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Par michel koppera - Publié dans : lectures x - Communauté : Fantasmes et écriture
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