Mardi 12 novembre 2013 2 12 /11 /Nov /2013 14:50

Mes aventures et mésaventures, # 5

Dominique G*. Printemps 1974 - 1977

k5-5Pour préparer ma licence, je me suis retiré pendant deux semaines au bord de la mer dans la villa familiale. Dix jours de révision intense, de travail non-stop. Il fait beau… Le dernier samedi avant le retour à la ville, je m’accorde une soirée détente. Justement, il y a une discothèque toute proche…

Je ne la reconnais pas. C’est elle qui me saute au cou :

- Salut, Michel ! Qu’est-ce que tu fais là ? T’es tout seul ?

J’avoue que si je l’avais croisée dans la rue, je ne l’aurais pas reconnue. Dix ans qu’on ne s’était pas revus. En classe de cinquième, au lycée, elle était ma petite amie, sœur de Sylvain,  mon meilleur camarade de classe. Elle est maintenant très grande, avec de longs cheveux châtain foncé. Elle porte une courte robe de velours violet. Elle a un grand nez, une belle bouche…Elle me dit qu’elle est venue avec des amis, pour se changer les idées… Elle fait des études d’anglais pour être traductrice ou guide touristique, elle ne sait pas encore… Je suis étonné de découvrir qu’elle sait à peu près tout de moi : mon mariage, mes débuts en écriture, mon parcours universitaire… On danse, on boit un coup, on danse encore… Quand arrivent les slows, on ne se quitte plus… On s’embrasse. Sur la piste, on est comme deux lapins en rut. Vers quatre heures du matin, comme ses amis veulent s’en aller, elle leur dit qu’elle rentrera plus tard, avec moi…

C’est comme ça qu’on se retrouve au petit jour dans ma chambre de la villa… Dominique n’a qu’un désir : baiser ! Et j’éprouve le même désir. En deux temps trois mouvements, nous voilà à poil. Dominique a une très belle poitrine, lourde et généreuse. Mais le plus surprenant, ce sont au cœur de l’épaisse touffe de ses poils pubiens, les grandes lèvres de sa vulve qui dépassent et sont comme deux petites escalopes de chair brune. Cette découverte me rend lubrique. Me voilà à genoux au bord du lit, la tête entre les cuisses ouvertes de Dominique, à lécher sa chatte, à triturer ses lèvres charnues, à sucer son clitoris qu’elle a très développé et tendu comme une petite bite… k5-3Et elle aime ça ! Le jeu de ma bouche au plus intime de son corps la rend folle. Elle mouille en abondance, jouit à jet continu, braille son plaisir, réclame toujours plus, toujours plus profond. Ses lèvres vaginales, gonflées de sang, ont viré au pourpre intense… Quand je glisse ma queue raide dans son con, je suis comme aspiré, ventousé… Je ne tarde pas à jouir… Bon dieu, quelle baise !

Dans la matinée, après un sommeil trop court, on remet ça…Plus calmement, plus tendrement. Mais, sa chatte est toujours aussi magique, son clitoris aussi gros, ses orgasmes aussi bruyants…

k5-4On est rentrés ensemble en ville… Je l’ai déposée au pied de son immeuble. Nous avons convenu de nous revoir. Et c’est ainsi que nous avons entretenu une relation durable, plus de deux ans… On passe des soirées ensemble, parfois même des week-ends. On baise chez elle, mais aussi en voiture, ou même dans les dunes… Dominique aime que je lui tète les seins, mais surtout que je malaxe les lèvres charnues de sa vulve… Dès que ma main se pose sur son genou, elle écarte les cuisses et m’ouvre en grand le chemin de son ventre déjà humide. Et lorsque je saisis les deux lèvres intimes entre le pouce et l’index, Dominique se met à gémir, colle sa bouche à ma bouche et ses hanches commencent à se balancer au rythme du plaisir qui monte, qui monte inexorablement. Elle perd le contrôle d’elle-même.

 Jamais je ne me suis lassé de la chatte de Dominique, de ses chairs secrètes, nous avions même envisagé de partir ensemble… Mais Valérie est arrivée et ma vie en fut bouleversée…

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1993. Quinze années plus tard, par le plus grand des hasards, je croise Dominique dans une librairie. C’est moi qui la reconnais… Je me dirige vers elle pour lui dire bonjour… Mais je découvre d’abord qu’une fillette que je n’avais pas vue l’accompagne – sans doute sa fille ! Et puis, Dominique m’aperçoit. D’un mouvement imperceptible de la tête, elle me fait signe que non… et je devine comme une immense détresse dans son regard. Je m’arrête à temps… Bien m’en prend : un homme est là, pas très loin, qui les rejoint. La mère et la fille le suivent… Je ne reverrai plus Dominique. 

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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