Samedi 22 mars 2014 6 22 /03 /Mars /2014 10:03

Mes aventures et mésaventures, # 12

Marinette C**, 1976

k21-1Marinette était une collègue de travail. À l’époque, nous étions tout un groupe en poste à P***, à une bonne trentaine de kilomètres de la grande ville. Pendant la semaine, nous organisions un covoiturage (2 voitures pour 9 personnes), mais le samedi, comme la boîte tournait au ralenti, nous n’étions plus que deux, Marinette et moi, à faire la route ensemble. Marinette avait une VW Coccinelle, moi une BMW série 3. Comme son domicile se trouvait sur ma route, on avait pris l’habitude de boire un café chez elle avant de partir. Marinette était mariée, mais quand je passais le samedi matin, son mari était toujours absent. Marinette me disait alors qu’il était allé « creuser un puits chez un copain ». Le fait est que je ne l’ai jamais rencontré. Pendant que je prenais le café, Marinette allait et venait dans l’appartement en nuisette et petite culotte, comme si elle venait de sortir du lit. Marinette était plutôt mignonne, avec un visage ovale, des yeux verts, des cheveux châtains coupés court. D’allure sportive, elle avait les jambes musculeuses et la silhouette élancée.

Et voici qu’un matin d’hiver, alors qu’elle était en train de mettre la dernière touche à son maquillage, elle reçoit un coup de fil qui nous annonce que la neige tombe abondamment à P***, que les routes sont dangereuses et que la boîte restera exceptionnellement fermée toute la matinée. Il est à peine 8 heures ! Malgré la perspective inespérée d’un matin libre, on se sent un peu décontenancés. En principe, la boîte devait ouvrir l’après-midi. On avait donc quatre bonnes heures de liberté devant nous.

- Qu’est-ce qu’on fait ?

- Je ne sais pas… Qu’est-ce que tu proposes ? Moi, ça ne me dit rien de rentrer chez moi…

- Alors, on fait la grasse matinée… Je t’invite.

C’est comme ça que je me suis retrouvé dans le lit conjugal en slip et T-shirt, couché à côté de Marinette, en petite culotte et nuisette de coton ultra courte. Et inévitablement, ce qui devait arriver arriva. On ne fit même pas semblant de dormir. On commença par parler, puis par se taire et se regarder dans les yeux, puis par se toucher, se caresser, se dénuder, s’embrasser, se tripoter, se branler…k21-3

- Tu n’as pas peur que ton mari revienne ?

- Je te l’ai déjà dit : il creuse un puits chez un copain !

Alors, on a pris notre temps pour nous envoyer en l’air. Marinette avait la chatte complètement rasée. Il faut reconnaître que pour la lécher, c’était pratique. Mais, personnellement, je n’étais déjà pas chaud partisan du glabre intégral. Ça ne m’a pas empêché de baiser, et dans de multiples positions, car Marinette était souple, presque ductile. Elle avait le con savoureux et savonneux.

On s’est sucés, on a baisé jusqu’à épuisement des stocks. À midi, on a cassé la croûte dans un snack et on est allés bosser comme si de rien n’était. Notre matinée de givre n’eut pas de suite, on n’en a jamais reparlé. L’été suivant, à l’occasion d’une promotion interne, Marinette a été mutée et on s’est perdus de vue

Quelques années plus tard, je l’ai rencontrée par hasard dans une allée du jardin des plantes. Elle tenait par la main une gamine de trois ans. C’était sa fille. On a parlé quelques instants. Je l’ai félicitée pour sa petite fille.

- Tu vois qu’il a fini par le creuser, son puits ! m’a dit Marinette avec un sourire des plus désarmants.

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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