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Hommage à Maria Schneider
Il est évidemment impossible d'évoquer la carrière cinématographique de Maria Schneider sans parler de son extraordinaire performance dans Le Dernier tango à Paris de Bertolucci. Elle avait 19 ans à l'époque, j'en avais 20. Outre sa beauté et sa grâce encore juvénile ( elle avait une sublime poitrine à faire bander les ermites les plus endurcis et un corps d'une grande sensualité), ses scènes d'amour avec Marlo Brando qui étaient pour le moins torrides ne faisaient qu'ajouter à son charme.
Quand il m'arrive de repenser au film, ce n'est pas la sulfureuse scène dite « du beurre » qui me revient spontanément en mémoire, mais le dernier plan séquence. Nous sommes dans l'appartement presque vide qui a été le cadre unique de tous leurs ébats ; on y voit au premier plan Jeanne (Maria Schneider), dans l'ombre d'une encoignure, un pistolet à la main et en arrière-plan, le cadavre de Paul ( Marlon Brando) étendu sur le balcon. Elle vient de le tuer et semble complètement perdue... Elle se parle à elle-même. Je cite de mémoire : « Je ne le connais pas, je ne sais pas qui c'est. Il m'a suivie, il voulait me faire du mal, je me suis défendue... je ne sais pas qui c'est.... »
Ces paroles m'ont marqué pour la vie, comme si elles étaient à elles seules un terrible résumé des rapports homme-femme, et des rapports humains en général.
Plus tard, j'ai revu Maria Schneider dans Profession reporter d'Antonioni, dont je ne garde aucun souvenir précis
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