Crissie et Monsieur K.

Jeudi 6 août 2015 4 06 /08 /Août /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 12 b

crissie12-bDaniel vient caresser ton visage avec sa bite énorme. "T'es bien sûre de vouloir prendre ça dans le con petite salope... ? Qu'à cela ne tienne !" Il s'approche ... Stéphane lui barre la route : "Tu permets ? Juste quelques coups avant toi, elle m'affole trop cette fille..." Daniel s'exécute, son membre démesuré en attente. Stéphane exerce quelques va-et-vient en gémissant que tu es vraiment bonne et se retire, mais reste tout près et observe Daniel t'embrocher avec gradation en ayant copieusement lubrifié -comme si c'était encore utile- l'énorme préservatif qui protège sa queue démesurée. Toi, Crissie, tu as l'air tellement allumée que tu me fais peur. Ne va pas tomber dans les pommes ma belle... Mais non, tu es bien dans cette bacchanale, tu prends ton pied comme une malade et comme si ce n'était pas déjà suffisant, tu sembles décupler la folie de baise des autres. Daniel essaie de rester le plus longtemps possible en toi, "pour bien en profiter", borborygme-t-il. Stéphane vient décharger une nouvelle fois sur toi. Géraldine s'enduit le con de son sperme, te caresse les seins avec et commence à se branler consciencieusement sans quitter tes yeux. Mais toi tu ne vois plus rien depuis longtemps, tu es devenue une machine à jouir et tu ne peux même plus t'empêcher de crier sans mesure...

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Mercredi 5 août 2015 3 05 /08 /Août /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K., chapitre 12 a

crissie12-a Tu me cherches du regard... Je suis là, Crissie, n'aie pas peur. Mais ce soir, je ne suis que le Monsieur Loyal du spectacle. J'ai baissé les stores, débarrassé la table où mes amis te couchent, simplement vêtue de tes bas noirs où flamboie encore ta jarretière. Ils se sont tous mis intégralement nus. Dans une corbeille, j'ai apporté les capotes, les gels lubrifiants et les huiles essentielles. Et puis, j'ai empoigné le caméscope et je me suis mis à filmer.
Je filme Mathias qui suce et tète tes seins encore adolescents et parfois te mordille presque cruellement un mamelon jusqu'à t'arracher un gémissement de douleur. Je filme Bertrand, la tête enfouie entre tes cuisses ouvertes, qui te lèche la vulve : sa langue pointue va et vient entre tes petites lèvres, se vrille à l'entrée de ton vagin, et affole ton clitoris. Tu ne peux contenir les ondulations langoureuses de tes hanches. Je filme Géraldine - c'est vrai qu'elle a un petit tatouage coquin au creux des reins, je ne l'avais jamais remarqué - montée sur la table, elle s'accroupit au-dessus de ton visage et donne à ta bouche son clitoris démesuré que tu suces comme une petite bite. Je filme en très gros plan ta main fragile qui empoigne la queue de Daniel. Tes doigts n'arrivent même pas à en faire le tour. Je filme Nicolas qui te caresse les fesses, les écarte, te regarde le trou du cul, y pose un doigt curieux. Ses yeux sont ceux d'un drogué en manque. Je filme la première éjaculation spontanée de Stéphane qui ne peut plus se retenir. Son sperme épais éclabousse ton ventre. Géraldine se précipite pour le laper sur ta peau frémissante. Elle s'en délecte jusqu'à la dernière goutte. Stéphane ne débande pas pour autant ; il est comme un colt à six coups qui vient de tirer sa première balle...
- S'il vous plaît, baisez-moi ! supplies-tu en fermant les yeux. 

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Jeudi 16 juillet 2015 4 16 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." Chapitre 11 b

crissie11-b-1Je suis surprise et en même temps fataliste... Nous y sommes ! Je me rétracte mais ça semble l'exciter : il renouvelle sa caresse, en insistant lourdement. Je sens une agitation, une électricité dans l'air. Pendant que l'amateur de fesses reste derrière moi et commence à se frotter, la dénommée Géraldine s'approche de mon visage, tire mon menton vers elle, et sans me laisser le temps de comprendre ce qui m'arrive, plonge sa langue dans ma bouche comme si c'était une lame : c'est inattendu, violent ; je n'imaginais pas une telle entrée en matière. Son geste dure une seconde. Et tout aussi brusquement, elle prend ma main, la glisse sous sa jupe, la dirige vers une moiteur déjà trempée… Dit : "Tu me fais beaucoup d'effet tu sais… J'aime bien ton côté sainte-nitouche, ton air mi-fugue mi-raison. Je pense que tu es du genre déchaîné sous tes airs de pas y toucher...". Son ex compagnon ajoute : "On va bien voir..."

Je me trouve subitement au milieu d'un tourbillon : l'homme derrière moi se frotte de plus en plus fort, en y mettant tout son temps, le photographe met un index, puis un majeur dans ma bouche en demandant de sucer bien profond, le chef de cabinet vient me pincer les seins, l'ex de Géraldine avance un doigt décidé dans l'échancrure de mon string. Le grand timide me regarde de loin et au vu de l'énorme bosse qui met en relief son pantalon, le spectacle lui fait de l'effet. Je commence à défaillir doucement, à en demander plus, à attendre que ça s'accélère. J'ai presque envie d'un gang-bang, je me sens ouverte à tout ce qu'on veut.

Je cherche Monsieur K des yeux...

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Mercredi 15 juillet 2015 3 15 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." Chapitre 11 a

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Dès les premiers instants, Géraldine t'a "prise en main". C'est elle qui te désigne ta place à table, choisit tes voisins. Te voilà donc assise entre Bertrand et Daniel, son compagnon actuel et son ex, cela promet. Stéphane sera ton vis-à-vis. Pendant le dîner, sur fond musical de symphonie de Mahler, la conversation déroule ses spirales conviviales : dernières expos, nouveaux films, échos de la planète et buzz médiatiques... Sans ta présence, tout cela serait d'une affligeante banalité. Mais chaque regard, chaque mot, chaque geste, converge vers toi. On te demande ton avis sur tout, on te presse de questions...  On observe tes ongles manucurés lorsque tu portes un toast à ta bouche, l'éclat de tes dents qui mordent le pain grillé, le mouvement moelleux de tes lèvres qui s'ouvrent et se referment. Mine de rien, sans même te toucher, mes amis prennent déjà possession de ton corps. Le dîner n'est qu'un en-cas. Tu es la proie qu'ils vont dépecer, leur festin nu. Rien ne presse, les fauves sont patients...
Vers onze heures du soir, alors que tu t'es levée pour aller fumer une cigarette sur le balcon, comme la gazelle s'approche du  point d'eau pour se désaltérer, Nicolas te caresse les fesses en passant et donne le signal de la curée... 

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Jeudi 9 juillet 2015 4 09 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." chapitre 10 b 

crissie10-b-1 Recroquevillée plus qu'assise dans le grand fauteuil, je me mets à frissonner, autant par appréhension de ce qui va se passer que par peur de ne pas être à la hauteur... Je respire profondément et me cale dans le fauteuil en prenant l'attitude de quelqu'un d'assuré.

On sonne, on frappe à la porte. J'entends des rires et du brouhaha.

Monsieur K ouvre et accueille ses invités avec beaucoup de convivialité et une chaleur que je ne lui connais pas.

Il s'efface et les invités entrent : ils sont tous arrivés ensemble. Monsieur K vient se placer près de moi, fait les présentations, je fais mine de me lever, mais on me dit de rester assise.

-  Pour l'instant, ajoute-t-on.

On me dévisage avec discrétion, on me sourit, on me salue.  Monsieur K ouvre du champagne et distribue les coupes. On trinque comme si on était tous de vieux copains. J'avale de travers.

La seule femme invitée s'approche alors et s'agenouille près de moi, prend mon poignet gauche, le regarde et me dit :

- Moi aussi j'ai un tatouage, mais pas du tout au même endroit !

 Son compagnon se met à rire... 

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Mercredi 8 juillet 2015 3 08 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K.", chapitre 10 a

crissie10-a-2Je te regarde, je te contemple, je te tourne autour comme autour d'une oeuvre d'art. Je rectifie un pli, ajuste une bretelle ; tu ajoutes une touche de gloss sur tes lèvres pourpres... Je me recule pour mieux te voir.  Pas mal du tout, en putain intégrale des pieds à la tête : les escarpins noirs vernis, les bas noirs eux aussi avec une jarretière rouge autour de ta cuisse gauche, un string tendu à l'extrême qui te cisaille la chatte et fait ressortir les deux bourrelets de ta vulve nubile et laisse à nu tes fesses innocentes, un bustier qui rehausse tes seins menus dont les mamelons pointent le bout du téton, la fragilité de l'arrondi de tes épaules, ton cou gracile cerclé d'or, tes yeux soulignés de khôl... Je t'aide à enfiler une sorte de blouse de soie couleur d'incendie et t'installe au salon, dans le grand fauteuil de cuir noir.

- Maintenant, écoute-moi bien Crissie. Ce soir, nous attendons quelques invités de marque. Il y aura d'abord Mathias ; il est chef de cabinet dans une sous-préfecture, il a 52 ans, c'est ce que les femmes appellent un bel homme, mais plutôt dans le genre pas commode. Comme je te l'ai dit hier, Bertrand viendra avec Géraldine. Pendant des années, elle a pratiqué le culturisme à un haut niveau ; à 43 ans, elle en a gardé une voix grave et surtout un clitoris hypertrophié. Méfie-toi d'elle ! Avant de vivre avec Bertrand, qui est photographe de pub, elle partageait la vie de Daniel qui est un adepte du body-building. Et je peux t'affirmer qu'il n'y a pas que ses pectoraux et ses biceps qui sont costauds. Il a une bite énorme, d'ailleurs, le sucer c'est déjà une performance, c'est te dire ! Il y aura aussi Nicolas qui est un ami d'enfance. Il est agent immobilier et il aime le cul des femmes si tu vois ce que je veux dire. Enfin, il y aura Stéphane, c'est un grand timide : les femmes lui font un peu peur, et pourtant il ne pense qu'à ça ! Dès que l'un d'entre nous fait une rencontre intéressante, il doit la partager avec les autres, c'est notre règle commune. Alors, aujourd'hui, j'applique la règle. Mais tu verras, ce sont des gens très bien élevés, de bonne compagnie et qui savent se conduire en société... Ah, je crois qu'ils arrivent...

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Vendredi 3 juillet 2015 5 03 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." Chapitre 9 b

crissie9b-1Le canapé est couvert de vêtements et d'accessoires : ça fait un patchwork coloré de textures. C'est beau et excitant en diable.

Je suis comme une poule devant un couteau. Que porter pour satisfaire Monsieur K ? Il m'a acheté beaucoup de tenues complètement putassières, mais d'autres sont plus équivoques. Je lève vers lui un visage dubitatif.

Il me regarde mi-amusé, mi-réprobateur.

 - Pour ce soir, je veux que tu mettes ça !

  Il me tend un des ensembles choisis autoritairement dans le magasin où il m'a emmenée : je vais être en rouge et noir, et encore plus que nue avec ces ouvertures savantes et ces échancrures diversifiées qui livrent aux regards des promesses de peau.

Je me prépare lentement, avec des gestes précis. Mon corps paraît laiteux, presque immatériel. 

- Ferme les yeux !

Monsieur K découvre ma nuque et un bijou lourd entoure mon cou.

Des effluves ambrés et poudrés m'environnent : Monsieur K chiffonne mes cheveux de parfum, puis les lisse et les abandonne.

Je suis prête pour le grand sacrifice...

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Jeudi 2 juillet 2015 4 02 /07 /Juil /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K." chapitre 9 a

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- On arrête tout ce cirque ! dis-je en appuyant sur l'interrupteur qui plonge ta scène dans le noir.

crissie9a-1J'ouvre la porte. Dans l'obscurité, je devine la silhouette pâle de ton corps nu.

- Rhabille-toi, on s'en va !

Pendant que je t'attends, le patron du sex-shop se montre plus que curieux.

- Pourquoi vous avez fait ça ? C'était pas mal du tout ! Elle est à vous cette fille ?

- Elle n'appartient à personne.

- Alors, qu'est-ce que ça peut vous faire ?

- Rien...ça ne  me fait ni chaud ni froid. Si elle vous intéresse, parlez-lui, je vous souhaite bonne chance !

Quand tu ressors de la cabine, je sais que tu es redevenue la Crissie d'avant, celle que je connais. Le patron te retient par le bras.

- Mademoiselle, c'était très bien, très... comment dire...suggestif. On pourrait peut-être s'entendre. Et si je vous signais un contrat, disons deux shows par jour, en exclusivité... 30 minutes de votre temps, pas plus...

Tu t'écartes, tu ne daignes même pas lui répondre. Le patron m'interroge du regard.
- Qu'est-ce que je vous avais dit !

Le retour à l'appartement est plutôt morose. On ne se dit rien. La nuit tombe. Dans le salon, tu as déballé tes emplettes de lingerie.

- Crissie, nos invités ne vont pas tarder. Il est grand temps de te préparer pour la soirée... 

 

 

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Mercredi 24 juin 2015 3 24 /06 /Juin /2015 08:00

"Crissie et Monsieur K", chapitre 8b

crissie8b-1 Je ne reconnais pas la fille que je vois : c'est Crissie bien sûr, nue, haut perchée sur ses Louboutin, mais cette Crissie-là m'est totalement étrangère. En une fraction de seconde, elle passe de la moue d'enfant la plus ingénument libertine à l'auto-caresse la plus crue et la représentation la plus obscène : elle est "tous publics". Je comprends que chacun des excitables présents s'y retrouve : des accros aux jeunes lolitas aux voyeurs de sexes matures, généreusement ouverts, tout le monde en a pour son argent.  C'est un caméléon, une extra-terrestre multiforme, un ange pervers au regard clair. Même son regard m'est étranger : presque transparent, oeil de serpent, fatalité de méduse.

Le spectacle est pétrifiant, fascinant. Je me sens bander comme un cerf, avec l'envie frénétique de foncer vers elle et de la bourrer comme un malade en lui mettant des claques.

Je dis seulement, d'une voix blanche : "Oui, c'est quelque chose !"

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Mardi 23 juin 2015 2 23 /06 /Juin /2015 08:00

"Crissie et monsieur K.", chapitre 8a

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crissie8a-1Une fois la porte refermée, pour te parler franchement, je me désintéresse de ce que tu vas faire, de la façon dont tu vas réagir. D’ailleurs, je quitte le sex-shop et pour fumer tranquillement une cigarette dans la rue.

À mon retour, il y a le patron qui m’attend en haut des marches qui mènent au sous-sol. Il a l’air très excité et me fait signe de le rejoindre.

- C’est qui cette fille ?

- Je ne sais pas vraiment. Elle prétend s’appeler Crissie, c’est tout ce que je peux vous dire…

- Et comment vous l’avez dénichée ?

- À un vernissage, il y a un peu plus de trois semaines… Depuis, elle habite chez moi. Mais pourquoi vous me posez toutes ces questions, il y a quelque chose qui cloche ?

- Venez voir vous-même !

On redescend au sous-sol. Le patron me précède dans le couloir sombre et circulaire qui donne accès aux cabines des clients. Elles sont presque toutes occupées. Malgré la pénombre, je distingue des hommes debout devant le hublot de lumière, le visage presque collé à la vitre sans tain. Certains ont même le pantalon aux chevilles et des gestes sans aucune équivoque : ils sont en train de se masturber. Enfin, une cabine libre. Le patron s’écarte pour me laisser entrer :

- Je vous en prie, regardez-la, ça vaut le coup d’œil !  

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