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Samedi 7 juin 2014 6 07 /06 /Juin /2014 10:08

3. Novembre 1976. Camaret ( Finistère )

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celine3-3Nous passons quelques jours de vacances ; Anne et moi, dans une des innombrables maisons de sa famille. Son oncle et ses tantes possédaient entre autres un manoir classé du XVIème siècle – la propriété voisine était une des résidences d’un président africain, autant dire que dans les environs ça grouillait de gardes du corps et de policiers en civil - , une ferme traditionnelle dans le Pays d’Auge, une villa dans le golfe du Morbihan, un appartement aux Baléares, un autre sur la côte d’azur, etc. Et une immense maison à Camaret, avec vue sur la rade de Brest, maison si vaste qu’elle avait été divisée en trois appartements indépendants. En cette fin d’automne plutôt frisquet, nous avions préféré nous installer pour ces quelques jours dans une petite maison de deux pièces située à l’entrée du parc, autrefois destinée au logement des gardiens et plus facile à chauffer. Ce fut une semaine magnifique dont je garde encore aujourd’hui un souvenir ému. Il y avait tous les ingrédients du bonheur : les splendides paysages de l’automne breton, les matins brumeux, les plages désertes, les falaises de granit, la froidure presque sèche des jours ensoleillés…

Céline vint nous rendre visite pendant deux jours. C’était Anne qui l’avait invitée à se joindre à nous, peut-être pour tenter de conjurer le sombre avenir qui menaçait notre couple. En effet, quelques mois plus tard, nous allions nous séparer définitivement.celine3-1

Donc, promenades sur les plages, photos de bord de mer, crêperies, plateaux de fruits de mer, farniente… Le soir, pour coucher, il n’y avait qu’une seule chambre, avec deux lits : un vaste lit à deux places pour nous, un plus petit pour Céline… Dans l’obscurité, une fois les lumières éteintes, on continuait de se parler. Le second soir, comme il ne faisait décidément pas très chaud, Anne proposa à Céline de venir nous rejoindre dans notre lit. À cette époque, je savais déjà qu’Anne était bisexuelle, même plus homo qu’hétéro, mais Céline l’ignorait complètement. Ce fut donc en parfaite innocence qu’elle vint se coucher dans notre grand lit conjugal. Anne m’écarta doucement pour lui faire une place entre nous deux. Voici donc Céline bien au chaud. Elle me tourne le dos et me présente ses fesses. Son visage, ses seins, son ventre sont tournés vers Anne. Les discussions reprennent dans l’obscurité totale, mais entre les mots, je devine bientôt des mouvements de bras, des glissements de mains sous les draps, des froissements de tissus… Puis, tout se tait. Cette fois, j’entends distinctement le chuintement humide de leurs bouches qui s’embrassent, de leurs langues qui se mêlent. Tout doucement, je relève la nuisette de Céline pour dégager ses fesses. Ma main s’aventure dans le grand sillon, à la recherche de sa vulve. Anne est déjà dans la place, à lui fouiller le vagin et à lui titiller le clitoris. Céline est trempée de désir. Je ne tarde pas à bander ferme. Je me mets en position. Céline se cambre pour me présenter son cul. Je l’encule sans ménagement, jusqu’au fond, jusqu’à sentir la main d’Anne sur mes couilles. Céline se fait prendre en sandwich : par devant, les doigts d’Anne qui la baisent et sa bouche qui lui lèche les seins ; par derrière ma queue allant et venant dans son cul. Je ne sais pas ce que Céline fait de ses dix doigts, mais je suppose aux soupirs et autre gémissements d’Anne qu’elle ne doit pas rester inactive et s’occuper efficacement du sexe de ma compagne. Je ne me souviens plus dans quel ordre ni combien de fois nous avons joui. Ce qui est sûr, c’est que chacun y a trouvé son compte. Moi, j’ai éjaculé une première fois dans le cul de Céline qui se tortillait comme une anguille, le corps trempé de sueur, en grognant de plaisir…

celine3-2Plus tard dans la nuit, il me semble qu’une bouche m’a sucé et que j’ai pénétré un sexe… Mais il faisait si sombre… Le lendemain, Céline reprenait la route, et un mois plus tard, Anne et moi, nous nous séparions après six années de vie commune.

 

Suite à un déménagement et de nouvelles rencontres, j’ai alors perdu tout contact avec Céline.

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Jeudi 5 juin 2014 4 05 /06 /Juin /2014 09:17

2. Septembre 1975- juin 1976   

celine2-1Après une courte trêve estivale, nos relations intimes reprennent à l’automne 1975. J’ai trouvé un travail en ville tandis que Céline, moins chanceuse, se trouve reléguée à plus de 40 kilomètres. Mais comme elle continue tout en bossant de suivre des cours à la fac pour terminer sa maîtrise de lettres, elle vient chaque semaine passer deux jours sur place et, plutôt que de faire la route, elle reste coucher chez nous. C’était la nuit du mercredi au jeudi. Dans le même temps, pour financer ses études, mon épouse Anne avait trouvé un poste de surveillante d’internat dans un lycée où, trois fois par semaine, elle assurait une garde de nuit, si bien que la soirée et la nuit du mercredi au jeudi, Céline et moi étions seuls ensemble.

C’est ainsi que s’est mis en place, pendant près d’un an une sorte de rite quasiment immuable. Céline arrivait vers 19 heures, juste après le départ d’Anne. On prenait un whisky, on dînait sagement dans la cuisine puis on passait au salon où on s’installait dans le canapé pour regarder la télé : elle à gauche, moi à droite, toujours. On regardait n’importe quoi, de toute façon on s’en fichait… L’important, c’était qu’il y ait des images sur l’écran…. Juste après le journal télévisé, Céline me disait :

- Je vais prendre ma douche…celine2-3

C’était le signal, une sorte de phrase codée qui signifiait que nous allions baiser. Un bon quart d’heure plus tard, elle était de retour, en chemise de nuit ou en nuisette. Elle reprenait sa place et on regardait l’écran. Mais bientôt je posais une main sur son genou, elle écartait un peu les jambes et posait sa main droite sur ma braguette. Sans un mot, mes doigts rampaient entre ses cuisses à la rencontre de sa chatte, tandis que les siens dégrafaient mon ceinturon,  ouvraient ma braguette, sortaient ma bite déjà dure et la branlaient lentement. Bien calée dans le fond du canapé, retroussée jusqu’aux hanches, les jambes grandes ouvertes, Céline me laissait libre accès à son ventre… Ces caresses pouvaient durer longtemps, chacun se retenait de jouir pour en profiter au maximum… Quand on n’en pouvait plus, je m’agenouillais entre ses  jambes pour lui lécher longuement la vulve… Elle était incroyablement mouillée. Puis, la saisissant par les hanches, je l’attirais vers moi et, tout naturellement, je la pénétrais… On était chevillés l’un à l’autre. Pas besoin de va-et-vient furieux. On baisait doucement, calmement, sans un mot, en se regardant droit dans les yeux… On jouissait. Quand c’était fini, on reprenait nos places de téléspectateurs et on finissait la soirée comme ça, elle le ventre à l’air, débordant de sperme, moi la queue flasque et poisseuse qu’elle manipulait d’une main distraite. Vers minuit, après une chaste bise amicale, chacun allait dormir dans son lit.

celine2-2Les seuls soirs où le rituel était un peu bousculé, c’était les jours de Coupe d’Europe de Football. Saison 1975-76, c’est la grande épopée des Verts… Les soirs de match, Céline était plus attentive à ce qui se passait sur l’écran. Alors, au lieu de baiser face à face, elle s’asseyait sur mon ventre de façon à ne rien perdre des actions de jeu… On baisait comme ça, sans vraiment bouger, ma queue plantée droit dans son vagin. D’une main, elle se branlait et me caressait les couilles à l’occasion, moi je lui tenais les seins à pleines paumes… Je sentais les vibrations et les ondulations de son ventre qui me suçait goulûment la queue… Je crois que je n’ai jamais autant aimé le foot que pendant la saison 1975-76…

Les Verts ont fini par perdre en finale. Ce soir-là, le mercredi 12 mai, nous avons baisé comme d’habitude, en regardant le match, mais de façon plus intense… Je me souviens que Céline a joui au moins trois fois et que j’ai réussi à rester dans son ventre presque toute la partie, et à éjaculer deux fois sans quasiment débander…

Fin juin, le contrat d’Anne a pris fin et Céline a cessé de venir passer chez nous la nuit du mercredi au jeudi…

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 4 juin 2014 3 04 /06 /Juin /2014 09:51

Keepsake.

Mes amours. Céline.

1 : 1974

celine1-3Nous l’appellerons Céline. Elle était de deux ans mon aînée. Nous avions fait connaissance sur les bancs de la fac de lettres, en première année de licence. On travaillait en binôme sur les auteurs du XVIII ème siècle, et plus particulièrement sur Diderot. Nos travaux de recherche nous amenaient à nous rencontrer régulièrement, le plus souvent chez moi, car elle habitait à plus de 30 km de la ville. Céline était châtain avec des cheveux frisés très fins. Un petit nez pointu, une peau pâle, des lunettes rondes cerclées d’acier, toujours en pantalon et grande fumeuse de Gitanes. Pendant plus de deux années, nos relations restèrent très platoniques. Et puis en 1974, il a bien fallu songer à trouver du boulot. Nous étions quatre bons copains de fac, et par le plus heureux des hasards, nous avons décroché chacun un poste de maître-auxiliaire (prof au rabais) pour une année dans un collège à près de 80 km. Plutôt que de se taper la route tous les jours, nous avons opté pour la colocation d’une maison individuelle proche du collège. Il y avait là Marie-Christine qui enseignait le français comme moi, Pascal qui enseignait les maths et Céline l’anglais. Comme la maison était petite, les deux filles occupaient chacune une chambre et Pascal et moi partagions le séjour. On y habitait du lundi au vendredi. C’est là que ma relation avec Céline, une nuit d’hiver, a pris un tour nouveau. Il était deux heures du matin, Je ne trouvais pas le sommeil. À l’autre bout du séjour, Pascal dormait et surtout ronflait comme une forge. De guerre lasse, je me suis levé pour aller trouver refuge dans la cuisine… Et c’est en passant dans le couloir, devant la porte de Céline que j’ai choisi de franchir le Rubicon. La porte n’était pas fermée à clef, je suis entré tout doucement et me suis assis dans l’obscurité au bord du lit. Elle ne dormait pas, m’a demandé ce qui n’allait pas ; je lui ai expliqué la situation – ce qui était inutile puisque les ronflements de Pascal parvenaient jusque dans sa chambre.celine1-5

- Si tu veux, viens te coucher avec moi… Mais avant, ferme bien la porte !

Je me suis glissé dans ses draps chauds. C’était un lit de 120, plutôt étroit, et nos corps se touchaient forcément. Céline dormait en nuisette de coton retroussée sur ses hanches. On s’est naturellement enlacés et embrassés à lèvres que veux-tu. D’une main agile, elle chercha mon sexe dans mon caleçon, tandis que je glissais la mienne entre ses cuisses à la rencontre de sa chatte. C’était la première fois de ma courte existence que je caressais un sexe aussi humide. J’en avais les doigts trempés. On peut dire que Céline dégoulinait. Une mouillure très chaude, à peine visqueuse, comme une salive tiède sans cesse renouvelée. Suivant le grand sillon de sa vulve, ma queue raide est entrée toute seule dans son vagin, comme aspirée dans ses profondeurs moites. Pour ne pas faire de bruit, nous n’avons cessé de nous embrasser… Céline a joui presque aussitôt, en me mordillant la langue…Plus tard, alors qu’elle était couchée sur moi, ce fut à mon tour de lui inonder le ventre de foutre.

 

celine1-1Vers 5 heures du matin, j’ai regagné mon lit dans le séjour où Pascal ronflait toujours, mais cette fois, je n’eus aucun mal à trouver le sommeil. Cette nuit fut la première d’une longue série. Une à deux fois par semaine, toujours après minuit, alors que Pascal ronflait, je me retrouvais pour une heure ou deux dans le lit de Céline. Je crois que les autres ignorèrent tout de nos rencontres nocturnes. À chaque fois, je trouvais Céline toujours aussi trempée, aussi disposée à l’amour. J’appris plus tard de sa bouche que, pour s’aider à s’endormir et dissiper ses angoisses, elle se branlait presque tous les soirs dans son lit. Nos amours clandestines durèrent jusqu’en juin 1975, toujours dans le noir, pour ne pas éveiller les soupçons. Ainsi, pendant des mois, je ne connus du corps que Céline que la sensation de sa peau sous mes doigts, l’odeur de son cou, de ses cheveux, la saveur liquide de son sexe et ses discrets soupirs à mon oreille… À la fin juin, notre quatuor se dispersa, mais je n’en cessai pas pour autant de voir régulièrement Céline…

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 2 mai 2014 5 02 /05 /Mai /2014 09:31

Mes aventures et mésaventures, # 14

Emmanuelle G* (dite Manou) juillet 1969

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L’été de mes 17 ans. J’ai passé tout le mois de juillet dans un camping de la côte atlantique avec Richard, un copain de lycée. On avait une canadienne pour deux. On n’a pas tardé à se faire des potes pour les parties de volley, de pétanque et les sorties nocturnes. Pour le 14 juillet, nos voisins de camping avaient des invités, dont une fille de notre âge prénommée Emmanuelle, mais tout le monde l’appelait Manou. Elle arrivait de Rouen. Manou était plutôt grande, très mince, avec une peau d’une surprenante blancheur. On ne tarda pas à apprendre que si Manou était si pâle, c’est qu’elle ne supportait pas le soleil. Dès que sa peau était exposée aux UV, elle se couvrait de plaques bleuâtres du plus mauvais effet. Si bien que l’été, Manou menait une existence essentiellement nocturne, passant sa journée de plage à l’ombre des parasols ou des rochers. C’est en assistant au feu d’artifice que nous avons fait vraiment connaissance. Richard entreprit de la draguer et, après le bouquet final, l’entraîna vers la fête foraine. Je les abandonnai et poursuivis la soirée avec des copains. C’est en rentrant à notre tente, vers deux heures du matin, que je tombai sur Manou, toute seule, assise sur le marchepied d’une caravane.keepsake-manou3

- Qu’est-ce tu attends ici, toute seule ? Je te croyais avec Richard…

- Ton copain, c’est un vrai connard… Et collant en plus. T’as vraiment envie d’aller te coucher ?

- Pas plus que ça.

- Alors, viens, on va faire un tour !

Je me souviens que cette nuit-là était très belle, calme, avec un ciel étoilé, le chant des grillons, et plein de vers luisants dans l’herbe. Je croyais qu’on allait retourner à la fête foraine, mais Manou m’a entraîné vers l’océan. Nous avons marché quelque temps au bord des vagues, en parlant de tout et de rien : je lui ai confié mes rêves d’écriture, elle ses projets musicaux. Et puis, plus tard dans la nuit, on s’est éloignés de la mer, on a franchi les dunes, traversé un bois de pins odorants et nous nous sommes retrouvés au bord des marais, dans un coin désert, loin de tout…

keepsake-manou- On va s’allonger là, a dit Manou. Je vais t’apprendre les étoiles.

En fait de constellations, ce que j’ai surtout  découvert, ce fut la carte du tendre de son corps. Dans la nuit, son corps pâle paraissait encore plus blanc que le jour. Les seules taches sombres étaient celles de sa chevelure et de sa petite chatte toute douce sous mes doigts. Ce que j’appris également, c’est qu’en amour Manou était beaucoup plus expérimentée que moi. Elle maîtrisait déjà tout un arsenal technique pour entretenir le désir des hommes. Elle savait caresser, embrasser, lécher, sucer… Elle m’apprit à jouer avec ses mamelons et à ne pas brusquer son clitoris. Nous avons fait l’amour dans l’herbe, moi sur le dos, elle me chevauchant pour mieux contrôler la situation. Je peux dire que ce fut avec Manou, au cours de cette nuit du 14 au 15 juillet 1969, que j’ai vraiment découvert les plaisirs de l’amour. Nous avons joui tous les deux, elle d’abord, moi juste après et, pour la première fois, j’ai ressenti la puissance d’un orgasme intégral qui se répand à travers tout le corps, du crâne au bout des orteils.keepsake-manou1

Manou est repartie pour Rouen dès le lendemain, mais nous avons correspondu pendant quelques mois, au moins jusqu’à Noël. Elle me racontait ses aventures et ses projets musicaux (elle était chanteuse dans un groupe). Je lui envoyais des poèmes et de courtes nouvelles fantastiques. Puis le courrier cessa, comme une source se tarit. J’espère qu’elle a mené à bien ses projets et réussi sa vie. C’était une fille bien.

 

 

 

Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 11 avril 2014 5 11 /04 /Avr /2014 16:21

Mes aventures et mésaventures, # 13

Pauline G*, mai-octobre 1977

 

Elle se prénommait Pauline, elle était gauchiste, tendance trotskyste. Elle était petite et boitait, séquelles d’une attaque de poliomyélite dans son enfance. Pauline avait le visage rond, un regard de myope derrière ses lunettes, les cheveux châtains coupés à la Sylvie Vartan.  On se rencontrait parfois dans des bars pour discuter à bâtons rompus de la révolution ; elle croyait encore au grand soir ! À l’époque, j’étais plutôt situationniste et lecteur de Guy Debord. Pour moi, c’était l’époque où mon couple avec Anne partait en vrille. Anne passait deux semaines par mois à Paris où elle poursuivait ses études.

k13-1C’est à la suite d’un pari perdu  (sur l’année de la mort de Lénine) que je suis tombé entre les mains de Pauline. L’enjeu du pari était un repas que le perdant devait offrir au gagnant. Plutôt qu’un banal restau, je lui ai proposé d’aller chez elle lui cuisiner un menu spécial : coquilles saint Jacques et profiteroles. J’apporterais aussi le vin : chablis et pomerol. Le soir dit, je suis donc arrivé avec mes victuailles. Pauline me reçut chaleureusement, vêtue d’une sorte de djellaba bleue qui lui allait très bien. Première surprise, pour dîner, il n’y aurait ni table, ni chaises. Le sol du salon était recouvert d’un épais tapis flocatis avec de gros coussins pour prendre ses aises. On posait les assiettes sur un grand plateau de cuivre à même le sol. Deuxième surprise, Pauline apprécie ce que je lui ai préparé et aussi le vin. Pendant tout le dîner, on ne parle pas une seule fois politique, mais musique, expos et littérature. On écoute du Pink Floyd et du Leonard Cohen. Et puis, alors que nous sommes vautrés sur les coussins, un peu ivres tous les deux, Pauline se colle contre moi et, sans hésiter, s’attaque à mon jean : ceinturon, boutons et braguette, slip… Rien ne lui résiste.k13-3

Ce qui  l’intéresse, c’est ma bite ! Une fois qu’elle l’a en main, elle la tient délicatement entre ses doigts comme un cierge : elle la caresse, la couve du regard, la branle, la lèche, la suce, l’avale jusqu’à la luette. Je soulève sa djellaba. Troisième surprise : là-dessous, elle est intégralement nue ! La première chose que je vois, c’est son sexe à la touffe discrète dont la fente est luisante de mouillure. Elle est vraiment trempée .De ma main libre, je débranche les lampes du salon de façon à ne garder qu’une sorte de veilleuse qui plonge la pièce dans une lumière orangée. Alors seulement, elle se déshabille. On baise sur place.

Pauline est si petite et légère que j’ai l’impression d’avoir une poupée vivante dans mes bras. Mais un jouet très lubrique, une vraie affamée de bite. Il la lui faut partout : en bouche, en mains, en con, en cul. Son corps est menu mais ses orifices sont larges, profonds et généreux. Ses petits seins font merveille comme tétines. Son plaisir, c’est d’observer ma queue qui s’enfonce en elle, grâce à deux grands miroirs posés contre les murs. Au cours de cette première nuit, on a baisé sans discontinuer jusqu’au petit matin. Pendant les entractes, on se mettait en 69, moi dessous, elle dessus, et je lui léchais le con et le cul jusqu’à plus soif, pendant qu’elle me pompait encore et encore…

k13-4 C’était en mai. À partir de là, on s’est rencontrés régulièrement plusieurs fois par semaine pour baiser. Cela a duré jusqu’en octobre. Pauline était toujours aussi obsédée par ma bite à laquelle elle vouait un véritable culte qui lui faisait perdre tout contrôle d’elle-même. Ce que je n’avais pas prévu, c’était qu’elle allait tomber amoureuse de moi. Aussi, lorsqu’en octobre, j’ai rencontré Julia et que j’ai voulu mettre fin à nos soirées, j’ai dû affronter les pleurs, les suppliques, puis plus tard le chantage (elle me menaçait de tout révéler à Julia qui malheureusement pour elle était déjà au courant de tout !). Finalement, Pauline renonça et retourna à ses réunions politiques où elle put dire tout le mal qu’elle pensait de moi.

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Samedi 22 mars 2014 6 22 /03 /Mars /2014 10:03

Mes aventures et mésaventures, # 12

Marinette C**, 1976

k21-1Marinette était une collègue de travail. À l’époque, nous étions tout un groupe en poste à P***, à une bonne trentaine de kilomètres de la grande ville. Pendant la semaine, nous organisions un covoiturage (2 voitures pour 9 personnes), mais le samedi, comme la boîte tournait au ralenti, nous n’étions plus que deux, Marinette et moi, à faire la route ensemble. Marinette avait une VW Coccinelle, moi une BMW série 3. Comme son domicile se trouvait sur ma route, on avait pris l’habitude de boire un café chez elle avant de partir. Marinette était mariée, mais quand je passais le samedi matin, son mari était toujours absent. Marinette me disait alors qu’il était allé « creuser un puits chez un copain ». Le fait est que je ne l’ai jamais rencontré. Pendant que je prenais le café, Marinette allait et venait dans l’appartement en nuisette et petite culotte, comme si elle venait de sortir du lit. Marinette était plutôt mignonne, avec un visage ovale, des yeux verts, des cheveux châtains coupés court. D’allure sportive, elle avait les jambes musculeuses et la silhouette élancée.

Et voici qu’un matin d’hiver, alors qu’elle était en train de mettre la dernière touche à son maquillage, elle reçoit un coup de fil qui nous annonce que la neige tombe abondamment à P***, que les routes sont dangereuses et que la boîte restera exceptionnellement fermée toute la matinée. Il est à peine 8 heures ! Malgré la perspective inespérée d’un matin libre, on se sent un peu décontenancés. En principe, la boîte devait ouvrir l’après-midi. On avait donc quatre bonnes heures de liberté devant nous.

- Qu’est-ce qu’on fait ?

- Je ne sais pas… Qu’est-ce que tu proposes ? Moi, ça ne me dit rien de rentrer chez moi…

- Alors, on fait la grasse matinée… Je t’invite.

C’est comme ça que je me suis retrouvé dans le lit conjugal en slip et T-shirt, couché à côté de Marinette, en petite culotte et nuisette de coton ultra courte. Et inévitablement, ce qui devait arriver arriva. On ne fit même pas semblant de dormir. On commença par parler, puis par se taire et se regarder dans les yeux, puis par se toucher, se caresser, se dénuder, s’embrasser, se tripoter, se branler…k21-3

- Tu n’as pas peur que ton mari revienne ?

- Je te l’ai déjà dit : il creuse un puits chez un copain !

Alors, on a pris notre temps pour nous envoyer en l’air. Marinette avait la chatte complètement rasée. Il faut reconnaître que pour la lécher, c’était pratique. Mais, personnellement, je n’étais déjà pas chaud partisan du glabre intégral. Ça ne m’a pas empêché de baiser, et dans de multiples positions, car Marinette était souple, presque ductile. Elle avait le con savoureux et savonneux.

On s’est sucés, on a baisé jusqu’à épuisement des stocks. À midi, on a cassé la croûte dans un snack et on est allés bosser comme si de rien n’était. Notre matinée de givre n’eut pas de suite, on n’en a jamais reparlé. L’été suivant, à l’occasion d’une promotion interne, Marinette a été mutée et on s’est perdus de vue

Quelques années plus tard, je l’ai rencontrée par hasard dans une allée du jardin des plantes. Elle tenait par la main une gamine de trois ans. C’était sa fille. On a parlé quelques instants. Je l’ai félicitée pour sa petite fille.

- Tu vois qu’il a fini par le creuser, son puits ! m’a dit Marinette avec un sourire des plus désarmants.

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Lundi 24 février 2014 1 24 /02 /Fév /2014 09:41

Mes aventures et mésaventures, # 11

Christine A. Juin 1987, Santander

En avril, nous avions reçu pendant une semaine des collègues de notre filiale espagnole de Santander. Esprit d’entreprise et échange culturel. Fin juin c’était à notre tour de leur rendre visite. Nous étions six, deux couples, Christine et moi. Christine avait des origines grecques. Elle avait 32 ans, les cheveux noirs bouclés, un nez proéminent, de grands yeux sombres aux paupières lourdes, une belle bouche… On travaillait ensemble depuis plus de deux ans. On se connaissait un peu, sans plus. En arrivant à Santander, nous avons appris que nous serions hébergés tous les deux par un couple de collègues espagnols dans un vaste appartement avec vue sur l’océan. Chacun sa chambre.

k11Ce fut une semaine très agréable : visites touristiques, soirées restau, bains de soleil et de mer… Nos hôtes avaient mis à notre disposition une voiture, nous étions libres et insouciants.

Un soir, après dîner, nous sommes allés au casino où il y avait des machines à sous alors encore assez rares en France. Pour Christine, c’était une première. Elle me demanda de lui montrer comment jouer… Et c’est ainsi qu’elle gagna, pas énormément (peut-être 4 ou 500 francs) mais suffisamment pour qu’elle m’embrasse affectueusement pour me remercier. C’est comme ça que tout a commencé !

Après le casino, nous sommes allés sur la plage. Il faisait encore chaud. Nous nous sommes assis sur le sable tiède. Christine portait un débardeur rose indien et une robe de coton blanc qui lui couvrait les genoux. Je la tenais par la taille. Nous nous sommes embrassés très longtemps sous la lune. J’ai caressé ses seins, son ventre, ses cuisses nues sous sa jupe. Elle m’a enserré la nuque et palpé l’entrejambe avec insistance.

- On rentre ?

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Une demi-heure plus tard, on était dans sa chambre, la plus éloignée de celle de nos hôtes. Il faisait très chaud. On a ouvert en grand la fenêtre qui donnait sur la mer argentée. Christine s’est laissée déshabiller. Elle avait de petits seins aux aréoles larges comme des soucoupes et une chatte anthracite très fournie. Elle ouvrit mon pantalon et s’empara à pleine main de ma queue raide. On s’embrassait avec fougue. On était pressés de baiser, peut-être trop. On a oublié les préliminaires. Christine se laissa tomber à la renverse sur le lit, ouvrit en grand les cuisses pour me montrer son sexe huileux. Je n’avais plus qu’à m’y glisser au plus profond, à aller et venir dans son ventre, tout en embrassant ses lèvres chaudes, en caressant ses seins gonflés de désir. On a joui presque ensemble.

Plus tard dans la nuit, on a baisé une seconde fois. Puis, encore les deux nuits suivantes, mais sans jamais dormir ensemble. Je crois que nos hôtes ignorèrent tout de notre relation secrète, ou alors ils surent faire preuve d’une remarquable discrétion.

À la fin de la semaine, de retour en France, Christine reprit sa vie avec son compagnon légitime et il ne nous resta plus que des souvenirs

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Jeudi 6 février 2014 4 06 /02 /Fév /2014 09:29

Mes aventures et mésaventures, # 10

Marion X, été 1967

k10-1Vacances familiales au camping « Les Dunes » à C* sur mer. Il y a des groupes d’ados qui se sont constitués le temps de l’été. Au programme, bains de soleil sur le sable, jeux de ballon, baignades… Et le soir venu, séance ciné ou boum dans le sous-sol d’une villa. Dans notre groupe, on est une bonne douzaine. Parmi les filles, il y a Marion, venue du Nord avec toute sa famille, la caravane et les tentes. Marion a 14 ans, des maillots de bain deux pièces d’un bleu outremer, la peau blanche et satinée, les cheveux châtains, des yeux noisette, un beau sourire et des taches de rousseur sur les pommettes.

Un après-midi du mois d’août, quelques jours avant son départ, nous nous retrouvons allongés côte à côte dans les dunes, sous un soleil de plomb, à l’abri du vent et des regards. Sa petite sœur et mon petit frère jouent ensemble à quelques mètres de nous, jeux de pelles, de seaux et de râteaux. Marion et moi sommes allongés sur le ventre, nos visages tournés l’un vers l’autre, les yeux dans les yeux. On ne se parle pas, on se regarde, et son regard me dit son désir. Alors, tout doucement, telle un serpent, ma main entame une lente reptation sur la serviette de Marion, jusqu’à sa hanche où elle s’arrête. Sans un mot, sans quitter mon regard, Marion soulève imperceptiblement son bassin pour permettre à ma main de me glisser sous son ventre. Mes doigts reprennent leur lente et silencieuse reptation, frôlent son nombril et plongent plus bas, se faufilent dans son maillot de bain, atteignent enfin sa touffe… Marion écarte un peu les cuisses. Ma main descend encore plus bas, dans sa fente très humide. Sa touffe dans ma paume, mes doigts au bord de sa vulve gluante, Marion se laisse retomber de tout son poids sur ma main qu’elle retient prisonnière. Puis, toujours sans un mot, toujours son regard dans le mien, elle commence à se branler sur ma main. Son désir inonde mes doigts. À petites pressions, à force de contractions spasmodiques des cuisses et du pubis, elle finit par jouir. Au moment fatidique, elle ferme simplement les yeux et sourit en soupirant très doucement.k10-2

Quand c’est terminé, elle se soulève un peu pour libérer ma main, se lève brusquement et file vers la mer pour aller se baigner en entraînant les petits dans son sillage. Je suis resté seul au creux des dunes, avec mon érection dérisoire et mon désir inassouvi 

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Dimanche 26 janvier 2014 7 26 /01 /Jan /2014 10:17

Scène 5 : septembre 1971

Corfou

anne-2Derniers jours de notre périple grec. Nous sommes revenus à Kerkyra (le nom grec de la ville principale de l’île) pour embarquer sur un ferry qui doit nous ramener en Italie. L’embarquement est prévu pour le lendemain en fin d’après-midi. En attendant, nous bivouaquons sur le port : nous n’avons plus un sou vaillant et le ventre vide. C’est là que nous rencontrons un Grec d’une quarantaine d’années qui parle assez bien le français. Il nous explique qu’il a fait une partie de ses études à Paris. On fait connaissance, on échange nos coordonnées. Puis finalement, il nous invite à dîner chez lui. Pour apaiser notre méfiance, il nous dit qu’il vit en couple et que sa compagne sera enchantée de nous recevoir. Nous le suivons jusque dans une petite maison où il nous prie de nous installer. La copine n’est pas là mais il nous affirme qu’elle ne va pas tarder… En attendant son arrivée, il nous mène à la salle de bain où nous prenons une longue douche… La compagne ne viendra pas, sans doute n’a-t-elle jamais existé ! Mais nous avons tellement faim que nous partageons avec plaisir son repas : tomates et feta à l’huile d’olive, plat de viande chaude aux aubergines… Tout en mangeant, il continue de se renseigner sur nous. Quand il apprend qu’on est fauchés, il me prend à part et me dit :

- Je peux vous dépanner de 50 dollars… En échange, je couche avec ton amie. Ça vous va ?

Je répète cette proposition à Anne, elle reste très calme.

- 50 dollars, c’est une somme ! On pourra même s’acheter quelques souvenirs… Je suis d’accord mais à condition que tu ne me laisses pas seule avec lui.

Lorsque notre hôte dont j’ai complètement oublié le nom me donne les 5 billets de 10 dollars, un drôle de frisson me traverse le corps, mélange de veulerie et de désir malsain.anne-5

Le dîner se termine comme si de rien n’était, sauf qu’Anne qui d’ordinaire ne boit jamais d’alcool s’envoie deux verres d’ouzo bien tassés. Je me souviens alors que la seule fois où je l’avais vue un peu ivre, elle s’était autorisé de nombreuses fantaisies sexuelles très éloignées de ses pratiques habituelles.

Après le café, on passe dans la chambre. Dehors, il fait nuit noire. Notre hôte accompagne Anne jusqu’au lit et me désigne une chaise près de la porte. Ce sera mon poste de veille. Assise au bord du lit, Anne se laisse entièrement déshabiller. Puis c’est à son tour de se mettre à poil. Mettre à poil est le mot : il est très velu, un poil noir, épais lui recouvre le torse et le ventre. Il est costaud, râblé, avec une petite bedaine et surtout une grosse bite sombre garnie de lourdes couilles bien pendantes. Il bande déjà très dur et le gland dénudé est tout luisant. Il s’approche tout près d’Anne, avec à la main sa bite en mât de beaupré. Elle s’en saisit et aussitôt l’attire dans sa bouche. Je n’en reviens pas ! L’ouzo fait des miracles !!! Tout en le suçant, elle lui caresse les couilles et l’entrecuisse. Le mec est au bord de l’explosion. Mais il en veut pour son argent. Anne se laisse renverser au bord du lit. Il s’agenouille entre ses cuisses ouvertes et lui enfourne sa queue luisante de salive dans la chatte. Ça rentre comme dans du beurre. Anne est très excitée, l’attire en elle et l’encourage à la baiser à fond. Moi, sur ma chaise, je ne perds pas une seconde du film. J’ai ouvert mon jean et je me branle doucement pour entretenir mon érection le plus longtemps possible. Le mec ne tarde pas à jouir bruyamment ; quand il éjacule, il serre les fesses en cadence pour bien se vider les couilles. Anne aussi jouit en soupirant très fort. Quand il se retire, elle reste immobile, les cuisses très écartées, avec le sexe béant qui suinte le sperme encore chaud

anne-4- Michel, viens toi aussi !

C’est la seconde fois que je la baise après un autre et j’y retrouve le même intense plaisir  Je dois avouer que la partager avec un inconnu m’excite au plus haut point.

On s’endort à trois sur le lit, Anne au milieu, nus dans la moiteur de la chambre obscure. Plus tard dans la nuit, je serai tiré du sommeil par un nouvel accouplement de mes deux voisins. Anne était à quatre pattes sur le lit, l’autre la prenait en levrette. Je n’oublierai jamais la saveur si particulière des lèvres d’Anne cette nuit-là : goût de sperme et d’anis qui accompagnaient ses mots tendres pendant qu’elle se faisait monter comme une chienne

- Tu es là et je suis heureuse… Tu comprends ça ?

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Par michel koppera - Publié dans : souvenirs - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mercredi 15 janvier 2014 3 15 /01 /Jan /2014 11:17

Scène 4 : Août 1971

Corfou, Agios Gordis.

anne4-1À la mi-août 1971, nous regagnons Corfou où nous allons séjourner pendant plus de trois semaines. Nous prenons nos quartiers sur la côte ouest de l’île, sur une belle plage nommée Agios Gordis. Nous vivons sur la plage où est déjà installée une petite communauté très cosmopolite de jeunes routards : il y a là des Américains, des Anglais, des Hollandais, des Allemands et quelques Français. Tout ce petit monde passe ses journées à poil au soleil, à se faire bronzer, à se baigner et à jouer… Le soir, on se réunit autour d’un feu de camp. La plage est un vaste lupanar à ciel ouvert. Tout le monde couche avec tout le monde. On y participe aussi. Je serais aujourd’hui bien incapable de dire combien j’ai eu de partenaires pendant ces jours de grande licence. Par contre, je me souviens très bien du soir où le frère du patron de la gargote installée en bordure de plage est venu prendre place dans le cercle autour du feu. Anne était en face de moi, de l’autre côté des flammes, à cinq ou six mètres. L’homme qui avait largement plus de 30 ans s’est assis à ses côtés. Aussitôt, j’ai pressenti qu’il allait se passer quelque chose, mais étrangement, loin de m’inquiéter, cette perspective m’excitait. Au début, je n’ai rien remarqué de précis, si ce n’est qu’ils se tenaient très près l’un de l’autre. Ce n’est que lorsqu’Anne a changé de position et que ce faisant elle a écarté les genoux que j’ai vu que l’homme avait la main entre ses cuisses et même carrément sur sa chatte. Elle ne cherchait pas à le cacher, bien au contraire. Je sais maintenant qu’elle tenait à ce que je voie son plaisir. Mais le plus surprenant n’était pas là : ce qui était nouveau c’était qu’elle n’était pas que passive. Elle avait glissé une main dans la poche du pantalon de son voisin et lui caressait le sexe. Peut-être que sa poche était décousue et qu’elle lui tenait la bite à pleine main. J’étais dans un état d’excitation très intense, proche de l’éjaculation spontanée. Cette scène était d’une grande sensualité. Puis brusquement Anne retira sa main, se leva et courut vers la mer toute proche. Sans doute venait-il de lui jouir dans la main et son dégoût du sperme avait été plus puissant que son désir…

anne4-2 

 

 

 

 

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