inédits

Mardi 10 juillet 2012 2 10 /07 /Juil /2012 11:47

Je vous propose de découvrir tout au long de cet été un roman inédit, "La trésorière", qui relate les aventures et mésaventures d'une brave mère de famille nommée Odile VARNEY qui se trouve, bien malgré elle, embarquée dans une étrange expérience érotique... Bonne lecture.

 

La trésorière

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Ce matin de décembre, alors qu’elle garait sa voiture dans le parking souterrain du centre commercial, Odile Varney n’aurait jamais imaginé que, moins d’une heure plus tard, elle commettrait une petite erreur qui allait bouleverser sa paisible existence.

Odile Varney avait trente-sept ans. Elle était mariée depuis plus de dix ans à Sébastien Varney, chef de chantier dans une grosse entreprise du BTP. Le couple avait deux enfants, deux beaux garçons âgés de huit et six ans. Odile menait une vie simple et harmonieuse, partagée entre l’amour pour son mari et ses enfants, les tâches ménagères et son emploi de comptable dans une entreprise de transport. En tout, Odile était un modèle d’ordre, de rigueur et d’honnêteté. « Ni excès, ni extravagance », telle aurait pu être sa devise.

Dans sa jeunesse, Odile avait été une jeune fille sans histoire, au physique passe-partout. Plus tard, elle était devenue jolie. Ses deux grossesses l’avaient encore embellie, mais elle ne s’en était pas rendu compte. À l’approche de la quarantaine, Odile était une belle femme mûre à la silhouette élégante, au visage harmonieux. Pour parler franchement, elle avait un cul magnifique, une poitrine en conséquence et une bouche à sucer les bites.

comptable1-1Donc, par ce froid matin de décembre, Odile était venue fouiner dans les boutiques de fringues de la galerie marchande du centre commercial.

Question cul, Odile faisait dans le classique. Dépucelée à dix-sept ans par un cousin de passage, premier orgasme à vingt-trois ans dans le lit d’une rencontre d’un soir, coït programmé le samedi soir, corvée trimestrielle de pipe et sodomie conjugales. Elle avait fini par se persuader que le sexe n’était qu’un à-côté de la vie.

 

Compte tenu de son expérience professionnelle, Odile avait été élue trésorière de l’association de parents d’élèves. À ce titre, elle était chargée de collecter les cotisations et de veiller au bon usage des subventions. Le bureau se réunissait quatre fois l’an, au domicile personnel du président. Il s’appelait Alexandre Delorme et occupait, à ce qu’on disait, un poste important dans la police, ce qui inspirait à la fois crainte et respect. C’était un bel homme d’une cinquantaine d’années. Divorcé, il avait obtenu la garde exclusive de son fils unique âgé de huit ans – il se disait aussi que l’épouse infidèle était partie vivre sa vie dans la sud du pays, quelque part au bord de la Méditerranée. Malgré les boissons fraîches et les petits gâteaux, les réunions du bureau n’avaient vraiment rien de réjouissant : une dizaine de personnes sérieuses et compassées qui parlaient financement de voyages scolaires, allégement des cartables, garderie du soir ou actions à entreprendre contre les menaces de fermeture de classes…

On était un mardi de février, dans l’après-midi. Odile venait de présenter le bilan financier de l’année précédente : adopté à l’unanimité. Mais au moment de se séparer, le président avait retenu Odile par le bras.comptable1-2

- Excusez-moi, madame Varney, pouvez-vous m’accorder quelques instants, juste le temps de régler un petit problème…

Dès que les autres membres du bureau eurent quitté l’appartement, il tira le verrou et rejoignit Odile restée au salon.

- Voyez-vous, la semaine dernière, je suis passé à la banque et j’ai demandé à consulter le relevé des opérations bancaires de notre association, commença-t-il en sortant de sa poche une feuille qu’il déplia.

Odile sentit ses jambes fléchir, son cœur s’arrêter, son sang refluer…

- Tout serait parfait si, à la mi-décembre, le compte n’avait été débité d’un montant de 262 €, puis recrédité de la même somme deux semaines plus tard…

- Une erreur de la banque, articula péniblement Odile.

- Je ne crois pas. Il s’agissait en réalité d’un chèque libellé à l’ordre d’une boutique de lingerie haut de gamme, un chèque signé de votre main. En voici une photocopie… Je me trompe ?

Odile avait la bouche sèche. Maladroitement, elle tenta d’expliquer comment, dans la précipitation, au moment de payer, elle avait confondu son propre chéquier avec celui de l’association. À la réception du relevé de fin de mois, elle s’était rendu compte de son erreur qu’elle avait aussitôt réparée…

- Même si ce que vous dites est vrai, il ne faudrait pas que la chose s’ébruite. On pourrait vous soupçonner d’indélicatesse. Surtout si on apprend que c’était pour vous offrir des frivolités ! Cela pourrait vous nuire, à vous personnellement, mais aussi à votre entourage…

Après un long silence, Alexandre Delorme reprit, mais sur un autre ton.

- Vous en portez aujourd’hui ?

Odile parut ne pas comprendre.

- Porter quoi ?

- De la lingerie fine.

à  suivre…

© Michel Koppera, juillet 2012

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 9 juillet 2012 1 09 /07 /Juil /2012 13:46

Mes récentes pérégrinations sur les routes et autoroutes hexagonales m'ont inspiré ce poème un peu trash. Que les âmes sensibles me pardonnent. (Certes les illustrations ne collent pas vraiment au thème du texte, mais je tenais à rendre hommage à la beauté éternelle des chats)

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La gueule ouverte et les tripes à l’air

Je suis le chat crevé sur le bord de la route.

Hier encore, je m’appelais Ulysse ou Slimane,

Naguère libre vagabond des sentiers et des chênes

Chat du voyage au pelage d’arc-en-ciel.

 

Sur les routes des plages fleurissent les cadavres

De mes frères sans nom, sans héritage ni logis ;

Des pies en grand uniforme de parade

Et de vieux corbeaux en soutane d’antan

Veillent nos dépouilles qui saignent au soleil.

 

Les essieux de plomb d’un trente tonnes allemand

M’ont broyé les os et brisé les reins.

C’était aux premières heures d’une nuit d’orage,

Quand miaule le désir des femelles en rut

Et que rôde la mort sur l’asphalte mouillé.

 

                                                © Michel KOPPERA,  Juillet 2012 

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Lundi 18 juin 2012 1 18 /06 /Juin /2012 05:43

Femme à la renverse

Sous la bite tendue,

Femme qui se berce

À la bite pendue

 

Femme de désir renversée

Aux seins sans retenue

Femme transpercée

D’une jouissance toute nue.

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Mardi 5 juin 2012 2 05 /06 /Juin /2012 07:03

Le miroir

Il est accroché au mur de la chambre conjugale depuis plusieurs générations. Il ne serait venu à l’idée de personne de le mettre au rebut. Ses moulures de plâtre doré ont encadré tant de visages familiers qu’il est devenu comme la mémoire des générations passées. Devant lui, des aïeules ont ajusté leur chapeau à voilette avant de partir à la messe, des hommes en costume y ont refait leur nœud de cravate, d’innombrables femmes, plus ou moins jeunes, plus ou moins belles, y ont rectifié un trait de mascara ou de rouge à lèvres… Le lit est en face. Les couples, plus ou moins légitimes, ont pu s’y regarder faire l’amour dans toutes les positions…

miroir1Aujourd’hui, c’est un après-midi de luxure. Ils profitent de l’absence des enfants pour jouer nus devant le miroir. Les reflets sont indiscrets, plongeant loin  leurs regards impudiques entre les fesses ouvertes. Ils s’imaginent faisant l’amour à quatre, échangeant leurs conjoints jumeaux et pourtant un peu différents… Ils sont beaux et émouvants.

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Mercredi 16 mai 2012 3 16 /05 /Mai /2012 17:41

La belle captive

captive1Je l’imagine retenue prisonnière dans une chambre secrète d’un château lointain. Recluse, mais consentante. Telle une odalisque, elle passe des heures allongée sur sa couche, en proie à un demi-sommeil paresseux, dans l’attente de son geôlier qui vient chaque jour prendre possession de son corps. Il peut entrer à n’importe quel moment, elle est prête, en tenue d’amour.

Il aime caresser sa peau onctueuse, soulever et pétrir à pleines paumes ses seins lourds et ses rondeurs, il aime jouir dans son sexe fauve. La belle captive se laisse désirer, pénétrer, embraser de volupté.

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Arts érotiques
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Samedi 7 janvier 2012 6 07 /01 /Jan /2012 14:33

Déviations, # 10

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S’il avait été dans son état normal, la jouissance de Chloé n’aurait pas manqué d’entraîner celle de Simon, d’autant plus que les spasmes et contractions de la blonde transmises par le ventre de Myriam lui font vibrer délicieusement la bite. Mais Simon a perdu tout contrôle de son corps. Il se sent bien dans le cul confortable de Myriam, ce cul qui l’aspire, lui tète le gland, le cajole sur toute sa longueur. Simon se gave du spectacle de sa queue engloutie entre les fesses écartelées de Myriam. Curieux, il passe une main sous son bras, à la recherche de ses seins… Il s’attend à une poitrine siliconée, il touche une belle paire de nichons bien moelleux, sans aucune cicatrice, naturelle. Cette découverte redouble son ardeur à défoncer le cul de Myriam, à lui faire cracher une bordée de sperme dans le vagin de Chloé qui continue de s’envoyer en l’air en gémissant des grossièretés…deviations10-01

Dans le feu de l’action, c’est à peine si Simon prend garde à la main qui se glisse entre ses cuisses et lui masse les couilles… Sans doute Solange qui s’amuse… Puis la main est rejointe par une bouche puis une langue qui lui lèche le périnée, l’entrefesses et s’attarde longuement sur le trou de son cul où elle pénètre habilement. Le souffle est chaud, la salive onctueuse... Simon écarte les jambes pour mieux .se donner Ce n’est que lorsqu’il voit Solange se mettre en position assise, cuisses très écartées devant le visage de Chloé pour se faire sucer la vulve, que Simon réalise que c’est le vieux curé qui s’occupe si divinement de son cul. Mais il n’a guère le temps de se poser plus de questions : voilà qu’à la langue du vieux succède sa bite pointue et souple… Telle un serpent, elle s’insinue dans le rectum, s’y installe, y prend ses aises… Et Simon convient qu’il n’a jamais connu tant de plaisir : enculer, être enculé, sentir dans le cul de Myriam la proximité du con de Chloé… Et devant ses yeux, la grosse Solange en train de se faire lécher la chatte par Chloé… Simon se croit transporté au 18ème siècle, dans une gravure de partouze du Marquis de  Sade…

À suivre

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Vendredi 16 décembre 2011 5 16 /12 /Déc /2011 10:00

Déviations, #9 ( je remercie à distance Sandokan à qui j'ai "emprunté" deux dessins pour illustrer cet épisode)

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deviations9Tel un chien à la chaîne, Simon s’approche à quatre pattes des deux couples en pleine fornication. Il leur tourne autour, les renifle. Les odeurs de leurs sexes assemblés et de leurs sueurs mêlées sont si puissantes que Simon en perd toute notion d’humanité. Il n’est bientôt plus qu’une bête en rut. Il les renifle un à un : d’abord Solange et son oncle d’où montent les senteurs grasses du con mélangées aux relents de naphtaline du vieux curé. Ils se besognent en soufflant comme des bœufs. Elle a le vagin si huileux qu’à chaque coup de reins du vieux, cela ressemble au bruit d’un pied qu’on enfonce dans la vase, comme un clapot de ventouse fatiguée. Simon les laisse à leur besogne et se dirige vers les deux autres.

Le buste avachi sur le tapis, la croupe en l’air, Chloé se fait prendre en levrette. Elle a les cheveux en désordre, la bouche ouverte qui bave, les yeux dans le vague. Elle continue de proférer à voix basse les mêmes insanités où il n’est question que de « bite de travelo » et de « foutre dans la chatte ». Elle sent encore la jeune fille rangée, trop propre sur elle si bien Simon se détourne et s’en va renifler le cul de Myriam qui s’arrête un instant, semble hésiter et finalement écarte un peu les fesses. Simon y glisse le bout du nez pour se repaître de son parfum si particulier, mélange de musc et de jasmin. Il y passe la langue, au plus profond du sillon, de la peau des couilles au creux des reins. Pas de doute, Myriam mouille du cul !deviations9-3

Alors, Simon se redresse, se met à genoux derrière Myriam qu’il saisit par les hanches et lui plante sa queue raide entre les fesses. En deux coups de reins, le voilà dans le cul de Myriam, aussi doux, aussi large, aussi douillet qu’un con. Un cul où il se sent bien !

Chloé, qui a sans doute deviné ce qui se passait dans son dos, en a un orgasme qui secoue leurs trois corps encastrés.

À suivre… ( j'attends vos propositions)

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Mardi 6 décembre 2011 2 06 /12 /Déc /2011 07:30

Déviations, # 8

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L’arrivée de Chloé rend l’atmosphère électrique. Il faut dire que la fille est plutôt belle : des yeux verts, une chevelure d’un blond doré, une bouche épaisse, une poitrine encore juvénile et surtout un beau cul et un large sillon vulvaire où chacun, à tour de rôle, glisse une main curieuse. Pendant que le vieux curé lui passe un collier de cuir noir autour du cou et l’attache à l’aide d’une longue chaîne chromée à un des pieds de la table où est attaché Simon,  Chloé se laisse fouiller l’entrecuisses, écartant même légèrement les jambes pour faciliter l’accès à son ventre.

deviations8-1Peu à peu, l’excitation la gagne : elle a le souffle court, les yeux dans le vague… Puis c’est au tour de Simon de se voir poser un collier de cuir. Une fois sa chaîne fixée comme celle de Chloé à un des pieds de la table, on le libère de ses entraves aux chevilles et aux poignets. Assis à même le sol, la queue raide, il assiste aux manœuvres amoureuses des quatre autres. Chloé s’est laissée docilement mettre à quatre pattes sur un tapis de sol, dans la posture obscène d’une chienne en rut. Simon a une vue imprenable sur son cul grand ouvert, mais cette vision ne dure qu’un instant car déjà Myriam vient par derrière, la queue raide, pour la monter en levrette. Chloé a un hoquet de plaisir et se met à gueuler des insanités inattendues dans sa bouche de jeune femme sage :

-  Vas-y, baise-moi, vieille salope ! Enfonce-la bien, ta sale bite de travelo !

Ces paroles réveillent le sexe flasque du vieux curé qui se met à frétiller comme une anguille. Le voilà qui empoigne Solange par les hanches et se met lui aussi en batterie :

- Ma petite Solange, ouvre bien les cuisses… Montre à Tonton Bertrand comme tu es gentille et obéissante…

Bien qu’à moitié molle, la bite du curé ne tarde pas à disparaître dans le vagin déjà bien huilé de sa nièce… Alors, Simon s’approche doucement du quatuor en pleine fornication…

À suivre…Que va faire Simon ? À quel couple va-t-il se joindre, et quel sera son rôle ? C’est à vous de me le dire

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Mardi 29 novembre 2011 2 29 /11 /Nov /2011 07:59

Après 7 chapitres, le moment est venu de faire le point et de rappeler où nous en sommes. Nous avons donc cinq protagonistes qui se retrouvent ensemble dans une maison isolée, quelque part dans l'ouest de la France. Il y a là :

- Un  vieux curé ( ou prétendu tel) encore vert, qui a tendu avec ses complices un piège à deux automobilistes égarés sur des routes de campagne.

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- Une servante âgée d'une cinquantaine d'années, nommée Solange, bien en chair et gourmande de sexe qui a guidé leur première victime jusqu'à la maison et a déjà bien profité de la situation pour s'envoyer en l'air avec le premier prisonnier.

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- Un travesti prénommé Myriam qui fait office d'infirmière, au service du vieux curé et qui n'hésite pas à avoir recours à la chimie médicamenteuse pour soumettre les victimes à ses fantasmes

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- Simon attaché sur une table de consultation, en état de bandaison permanente à la suite d'une injection opérée par Myriam. C'est le premier piégé de l'histoire.

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- Chloé, la nouvelle venue, une blonde épilée, que Myriam vient de neutraliser...

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Voilà notre quintet au complet... Que peut-il se passer ? Je compte sur votre imagination pour relancer la nouvelle. Les possibilités ne manquent pas. N'hésitez pas à faire preuve d'audace

Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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Lundi 21 novembre 2011 1 21 /11 /Nov /2011 08:37

En l'absence de propositions de votre part, cette semaine j'ai poursuivi seul le travail d'écriture. Ce serait bien si vous me donniez du grain à moudre. D'avance merci.

Déviations, # 7

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deviations7Dès que Myriam et le vieux curé ont quitté la pièce, Solange en profite pour changer de position. Elle se retourne pour chevaucher le corps de Simon et s’enconner sa grosse bite jusqu’à la garde. Elle se baise avec vigueur, à grands coups de reins, actionnant les pompes secrètes de sa vulve grasse. Simon croit pouvoir profiter de la situation :

- Si vous me détachiez, ce serait encore mieux, dit-il. Je pourrais vous caresser les seins ou les fesses.

Elle marque une pause et le regarde fixement de ses yeux voilés de désir.

- Je n’ai pas le droit… Ce sont eux qui décident.

- Nous ne sommes pas chez votre sœur, n’est-ce pas ?

- Je n’ai jamais eu ni frère, ni sœur, lui souffle-t-elle en se penchant avec un petit sourire. J’ai juste un père…

- Ce ne serait pas le vieux curé, par hasard ?

Solange ne répond pas et se remet à baiser de plus belle, en quête d’un orgasme poisseux. Mais bientôt, on entend des bruits de pas qui se rapprochent. En tout hâte, Solange se relève, descend de la table et abandonne Simon, la bite au garde-à-vous, luisante de mouillure. Tous les deux ont les yeux sur la porte, comme dans l’attente d’un coup de théâtre.

Myriam entre la première, toujours en blouse blanche. Elle tient par la main une jeune femme blonde, déjà nue. Simon remarque aussitôt son sexe intégralement rasé. La nouvelle venue a le regard flou et marche comme un automate. Le vieux curé vient derrière. Il a quitté son costume gris et porte désormais une robe de chambre couleur lie de vin, même pas fermée sur le devant, ce qui découvre son torse très velu et son sexe long et souple qui pendouille entre ses cuisses maigres.

À suivre…

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Par michel koppera - Publié dans : inédits - Communauté : Fantasmes et écriture
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